Société, être humain, comportement humain, espèce humaine, évolution humaine, socialisation
En préambule, à l'époque préhistorique, l'homme singe ne pouvait se défendre seul. Il avait l'instinct grégaire. Vivre en groupe était pour lui une condition de sa survie. N'oublions pas qu'au départ les premiers hominidés n'étaient que des animaux dont seule la bipédie les différenciait des autres mammifères. Son intelligence n'était pas encore un facteur discriminant. Face aux carnivores, les premiers hominidés (les australopithèques) ont eu du fil à retordre.
[...] Le fait qu'un groupe maîtrise une donnée et pas un autre : c'est l'émulation. S'isoler pour se ressourcer (créer et assurer l'existence du groupe). Néanmoins, même si le potentiel de chacun est le même, il n'y a que certains d'entre eux qui ont pu se prévaloir d'avoir précipiter l'invention vers son application. Ainsi, l'utilité de la solitude pour ne pas tomber dans l'idiotie collective. En effet, il est fort à parier que les idées qui font consensus sont les plus médiocres car elles rassemblent le maximum de personnes autour d'elles : elles contentent tout le monde. [...]
[...] L'autre : cet être incontournable. L'hypothèse principale de l'évolution humaine et des progrès qui l'ont accompagné sont que les hommes ont eu une socialisation renforcée du fait qu'ils étaient plus nombreux. La concurrence entre groupes et entres espèces parfois comme en Europe entre l'homme de Neandertal et l'homo sapiens il y a ans avant J-C aurait été le déclencheur d'un saut « technologique » comme l'a été dans une plus grande mesure la Seconde Guerre mondiale (bombe atomique, fusée, radar perfectionné . [...]
[...] L'être humain est-il fait pour vivre en société ? L'être humain est-il fait pour vivre en société ? Ou est-il fait pour être seul ? Que révèlent les comportements de l'être humain ? Que cherche-t-il ? En préambule, à l'époque préhistorique, l'homme singe ne pouvait se défendre seul. Avancer en se socialisant. Il avait l'instinct grégaire. Vivre en groupe était pour lui une condition de sa survie. N'oublions qu'au départ les premiers hominidés n'étaient que des animaux dont seule la bipédie les différencier des autres mammifères. [...]
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