Introduction:
Amnesty International,une association internationale de défense des droits humains recense qu'entre 1997 et 2000, les ¾ des gouvernements du monde ont employé la torture.
La torture est le fait d'infliger volontairement des souffrances physiques ou psychologiques à un individu. Il existe trois types de tortures: la torture pratiquée par des criminels ou des individus de la société civile, la torture « ordinaire » exercée par la police et les services correctionnels et la torture « extraordinaire » employée par l'armée et les agents de sécurité nationale. Le but de la torture est avant tout d'empêcher la personne ayant commis un délit d'enfreindre à nouveau la loi et de dissuader le reste de la société. Elle constitue un critère de vérité dans le sens où elle est moyen d'obtenir des informations utiles d'être révélées.
La légitimité est
Avec la progression du terrorisme ces dernières années, elle ravive davantage la polémique et suscite de nombreuses divergences: les absolutistes opposés aux utilitaristes.
Elle s'appuie sur trois grands domaines: la philosophie, la politique et le domaine juridique . Nous verrons si ceux-ci estiment ou non utile la pratique de la torture et le courant dans lequel ils s'inscrivent (absolutisme ou utilitarisme).
La torture peut-elle être dans certains cas justifiable ou excusable? Faut-il privilégier le bonheur de la collectivité au détriment d'un individu? Quels sont les motifs qui légitiment la torture? Dans quelle mesure peut-elle s'avérer favorable au bien commun? En réalité, peut-elle se révéler nuisible à la société? L'objectif que vise un Etat en employant la torture, est-il assez important pour justifier l'emploi de celle-ci?
Dans un premier temps, nous étudierons la pensée des absolutistes, soutenue par l'universalisme; puis, dans un second temps, nous nous apercevrons que celle-ci est confrontée à la position des utilitaristes qui perçoivent différemment la torture, la relativisent et parviennent alors à la rendre légitime dans certains cas.
[...] Dans quelle mesure peut-elle s'avérer favorable au bien commun? En réalité, peut-elle se révéler nuisible à la société? L'objectif que vise un Etat en employant la torture, est-il assez important pour justifier l'emploi de celle-ci? Dans un premier temps, nous étudierons la pensée des absolutistes, soutenue par l'universalisme; puis, dans un second temps, nous nous apercevrons que celle-ci est confrontée à la position des utilitaristes qui perçoivent différemment la torture, la relativisent et parviennent alors à la rendre légitime dans certains cas. [...]
[...] Leur objectif est de sauvegarder le bien commun, la sécurité et la sûreté de l'individu qui est selon eux le but de toute société. B. La légitimité de la torture, mise en oeuvre par la politique et le domaine juridique C. La solution de l'éthique Conclusion: Le droit comme outil au service de la politique. Torture rendue légitime par le domaine juridique. N'y a-t-il pas un abus dans l'utilisation du droit? Est-il juste de sacrifier un individu au profit de l'humanité? [...]
[...] Les absolutistes condamnent alors toute forme de torture car ils considèrent que cela constitue une atteinte à l'être humain et un Mal pour l'Humanité. Limites Le fait que la dignité et l'interdiction de la torture soient absolues est remis en cause, en effet, on pourrait exceptionnellement envisager sa pratique. De plus, les absolutistes écartent fermement l'idée d'accepter les conséquences de leur position, ce qui les rendent davantage vulnérables. La dignité est un principe difficile à définir et ne constitue pas un argument assez solide d'après Feldman dans « un vrai monde de conflits et d'intérêts nationaux ». [...]
[...] Elle constitue un critère de vérité dans le sens où elle est moyen d'obtenir des informations utiles d'être révélées. La légitimité est Avec la progression du terrorisme ces dernières années, elle ravive davantage la polémique et suscite de nombreuses divergences: les absolutistes opposés aux utilitaristes. Elle s'appuie sur trois grands domaines: la philosophie, la politique et le domaine juridique . Nous verrons si ceux-ci estiment ou non utile la pratique de la torture et le courant dans lequel ils s'inscrivent (absolutisme ou utilitarisme). [...]
[...] Ils sont particulièrement respectueux de l'intégrité de l'individu aussi bien morale que physique et la religion. Les absolutistes qui s'efforcent d'analyser de façon utilitariste expliquent que la torture est néfaste et estiment qu'elle ne remplit pas son objectif dans la mesure où elle est censée être un moyen d'accéder à la vérité, alors que torturé, un individu aura tendance à dire ce que ses bourreaux veulent entendre. Elle se rapproche alors selon eux de la corruption, ce qui est une notion contraire à celles défendues par leur groupe. [...]
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