Lorsque les gens entendent : l'Amérique, particulièrement les États-Unis, nous savons que c'est un pays non seulement puissant de par ses armes nucléaires, mais surtout par sa croissance économique exceptionnelle. Qui aurait pu croire que derrière cette richesse mondiale, se dissimulait un monde plongé dans une pauvreté tellement pitoyable, que cela pourrait même dépasser notre entendement.
Ce travail consiste en une analyse et une critique complète sur la pauvreté de la main d'oeuvre non qualifiée en Amérique. Ceci est basé sur le livre de « L'Amérique Pauvre » dont l'auteur est Barbara Ehrenreich.
[...] Bref, ce commentaire de la part de l'écrivaine me paraît comme étant une conclusion vraiment frappante qui nous fait réaliser que le fait de travailler vraiment dur dans l'univers des bas salaires ne nous mène pas vraiment à une vie agréable. En fait, les riches continueront toujours de s'enrichir et contrairement à eux, les pauvres continueront toujours de s'appauvrir. Il y a un grand intérêt pour les québécois de lire le livre L'Amérique pauvre. Tout d'abord, parce que nous vivons en Amérique, mais surtout, parce que le problème de la pauvreté chez la main-d'œuvre non qualifiée nous touche tous, peu importe dans le pays où ce que nous nous trouvons. [...]
[...] En fait, on peut bien supposer que le loyer à payer est certainement la plus grosse dépense pour un travailleur. Ce qui m'a vraiment surpris, c'est la citation qui suit : L'expert en logement Peter Dreier a établi que 59% des locataires pauvres ce qui représente un total de 4,4 millions de ménages dépensent plus de 50% de leurs revenus pour leur logement. Cet extrait est dur à croire parce qu'il est inconcevable de penser qu'une personne puisse survivre avec seulement 50% de son salaire. [...]
[...] J'imagine en autre que ces tests sont assez dispendieux. C'est pourquoi, les employeurs qui ne veulent pas gaspiller leurs profits, engagent n'importe qui en autant que celui-ci accepte le bas salaire. D'autre part, nous savons bien qu'il est difficile de bien se nourrir lorsque nous sommes très mal payés. Le fait que les employés à bas salaires mangent souvent dans des fast foods, ne m'impressionne pas vraiment. Il est assez logique de penser que ces gens qui travaillent pendant des heures et des heures sans s'arrêter, n'ont pas toujours le temps de préparer un bon repas bien équilibré à chaque jour. [...]
[...] Je ne pouvais rien faire d'autre que d'accepter. En fait, si notre société s'impliquait un peu plus pour venir en aide à ces gens, je suis sûr qu'ils pourront s'exprimer et de ce fait, enrichir la culture de toute une communauté. Si L'Amérique Pauvre n'était qu'un simple livre qui décrit la pauvreté dans le monde des bas salaires, il ne serait pas vraiment intéressant de le recommander à qui que ce soit puisqu'il existe déjà des tonnes de textes semblables. [...]
[...] En plus de nous divulguer des informations étonnantes, elle nous fait part des statistiques assez impressionnantes tout au long de son livre. En parcourant son œuvre, j'ai découvert plusieurs renseignements, histoires, commentaires et statistiques assez intéressants. Tout d'abord, dans une de ses statistiques, l'auteure affirme en bas de page que : 81% des employeurs d'une certaine importance exigent aujourd'hui un test de dépistage de drogue avant l'embauche (ils n'étaient que 21% à le faire en 1987). Ceci m'a beaucoup étonné parce que malgré leur côté égoïste, les employeurs pensent tout de même à la sécurité et à la santé de leurs employés ainsi que de l'entreprise. [...]
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