La question de la scolarisation de l'enfant handicapé est un sujet quelque peu sensible dans la société actuel, car c'est dans le cadre de l'école que l'enfant réalise sa première intégration au monde social. En effet, l'école porte au sein de nos sociétés occidentales, un rôle quasi incontournable. Elle fait partie intégrante de notre construction individuelle. Elle apporte cette part collective, qu'on peut nommer « la culture », à chacun. C'est d'ailleurs ce que pensait Durkheim, un des premier spécialiste de la sociologie de l'éducation. Selon lui, c'est l'éducation qui va forger l'individu, il dit que « pour chaque société, l'éducation est le moyen dans lequel elle prépare dans le coeur des enfants, les conditions essentielles de sa propre existence. L'éducation est une action exercée par la génération adulte sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale, elle a pour but de susciter et de développer chez l'enfant un certain nombre d'états physiques, intellectuels et moraux qui réclament de lui et de la société politique dans son ensemble, et le milieu spécial auquel il est particulièrement destiné. L'éducation est une socialisation de la jeune génération. ».
[...] L'OMS définit donc la personne handicapé comme toute personne qui n'est pas conforme à la norme de l'époque où elle vit dans de multiples domaines : de la santé, de l'équilibre mental, de l'intégrité physique, de la sexualité, de la productivité. L'ONU, quand à lui, en tient lé définition suivante en 1982 : Le handicap est la fonction des rapports des personnes handicapées avec leur environnement ( Le handicap réside alors dans la perte ou la limitation des possibilités de participer, sur un pied d'égalité avec les autres individu, à la vie en communauté. Cette notion de handicap dispose de nombreuses définitions, mais qu'en est- il de sa relation à l'éducation? [...]
[...] Quelles sont les autres solutions envisageables? p 10 et 11 Les difficultés et les limites de l'intégration en milieu ordianire Les autres possibilités Conclusion p 12 Bibliographie p 13 Introduction La question de la scolarisation de l'enfant handicapé est un sujet quelque peu sensible dans la société actuel, car c'est dans le cadre de l'école que l'enfant réalise sa première intégration au monde social. En effet, l'école porte au sein de nos sociétés occidentales, un rôle quasi incontournable. Elle fait partie intégrante de notre construction individuelle. [...]
[...] Cette autonomie efface quelque peut le handicap, la différence avec les autres élèves et favorise l'intégration. L'intégration individuel dans une classe ordinaire est donc celle qui répond le mieux à la notion de participation au sein de la société. Concernant cette intégration avec les autres élèves, on peut utiliser la notion de contacts mixte utilisé par Goffmann dans Stigmate. Ce concept est aussi utilisé par Zaffran à la page 66 de Quelle école pour les élèves handicapés?. Ce concept définit donc la rencontre entre les normaux et les anormaux En second la mise en place d'un tuteur comme un moyen d'individualisé l'enseignement. [...]
[...] Dans une seconde partie, nous nous intéresserons à l'intégration de l'enfant handicapé en milieu ordinaire, ainsi que les moyens mis en place pour en assurer le meilleur fonctionnement possible. Et dans une dernière partie, nous aborderons les difficultés et les limites qui peuvent être rencontrer lors d'une scolarité en milieu ordinaire, et nous verrons qu'elles sont les autres possibilités envisageables pour les enfants rencontrant des difficultés. Le handicap et ses lois fondatrices La définition du handicap Il semble incontournable de débuter ce travail par la définition du handicap. [...]
[...] Quelles sont les autres solutions envisageables? Difficultés et limites de l'intégration scolaire: Limitons dans un premier temps l'apport d'un tuteur. La limite principale d'un tuteur c'est le choix de celui-ci certains sont efficaces dans l'exercice de leur rôle, conscients des responsabilités qui leurs sont confiées, et d'autres plutôt identifiés au niveau des caractéristiques opposées. Il va de soi que les premiers sont préférables aux seconds lorsqu'il s'agit de mettre en place des relations d'aide entre élèves en classe ou de faire toujours dans la classe, un lieu où la dimension sociale et collective d'apprentissages soit plus développée. [...]
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