Emprise, méritocratie scolaire, légitimité, école, société
En France le principe de méritocratie est ancré dans notre société, c'est-à-dire qu'une société est juste si elle respecte le principe d'égalité des chances. On parle alors d'égalité au départ si les conditions de départ des individus, leur vie sociale sont égale. En quelque sorte la méritocratie signifie qu'il est acceptable est juste que les meilleurs atteignent les meilleures places. Cette conception ne rejette pas la hiérarchie sociale, elles sont même considérées comme juste dès lors que l'égalité des chances est respectée, mais ceci condamne toutes formes de privilèges ou de handicaps hérités et toutes formes de rigidité sociale bloquant les individus. En résumé les inégalités justes découlent du mérite personnel, et les inégalités injustes découlent des inégalités des chances. Cet article écrit par deux auteurs sociologues se sont intéressés principalement sur l'emprise de la méritocratie au sein du système éducatif en France. C'est deux auteurs posent le problème de la légitimation que fait l'école sur la méritocratie, car en impliquant elle-même cette conception (méritocratie), elle recrée les inégalités sociales et comment les individus intériorisent et définissent la méritocratie. Ainsi les deux auteurs cherchent à démontrer les limites de la méritocratie scolaire.
[...] L'emprise de la méritocratie scolaire : quelle légitimité ? En France le principe de méritocratie est ancré dans notre société, c'est-à- dire qu'une société est juste si elle respecte le principe d'égalité des chances. On parle alors d'égalité au départ si les conditions de départ des individus, leur vie sociale sont égale. En quelque sorte la méritocratie signifie qu'il est acceptable est juste que les meilleurs atteignent les meilleures places. Cette conception ne rejette pas la hiérarchie sociale, elles sont même considérées comme juste dès lors que l'égalité des chances est respectée, mais ceci condamne toutes formes de privilèges ou de handicaps hérités et toutes formes de rigidité sociale bloquant les individus. [...]
[...] Ainsi les deux auteurs cherchent à démontrer les limites de la méritocratie scolaire. Dans une première partie nous étudieront l'enjeu de la méritocratie pour l'école et la société en nous appuyant sur les théses de Bourdieu et de Passeron, puis dans une seconde partie nous étudieront l'intériorisation des individus sur la méritocratie scolaire avec la relation diplôme, salaire et emploi et comment les individus définissent cette conception. Comme nous l'avons vu dans l'introduction le système éducatif français est basé sur la méritocratie c'est-à-dire sur le mérite personnel et l'égalité des chances au départ. [...]
[...] Cet article m'a apprit qu'on peut définir en fonction de l'origine sociale, les individus qui seront plus amené à aller dans des carrières courtes ou bien des carrières longues. Enfin cet article m'a apprit que je ne serai peut être pas amené à faire un travail en fonction de mon diplômes et de mes qualifications. [...]
[...] Avant d'étudier la perception légitime des individus sur la relation entre le diplôme, salaire et emploi, les auteurs se sont interrogés tout d'abord sur la légitimité du diplôme comme la clef de la réussite. En fonction des filières, le rôle du diplôme est différent, pour les classes préparatoires plus assurés d'avoir un diplôme pensent que le diplôme est une nécessité pour réussir dans la vie professionnel (voir tableau I de l'article) alors que pour d'autre filière comme les étudiants en université pensent qu'ont peut réussir sans diplôme dans la vie professionnelle, ont peut expliquer cette divergence par l'origine social, expliqué dans la première partie. [...]
[...] Cependant certains auteurs comme Bourdieu et Passeron ont critiqué la méritocratie scolaire et surtout le rôle de l'école de faire accepté cette conception (la méritocratie) comme légitime. C'est-à-dire que pour c'est deux auteurs l'école légitime les inégalités qui en découlent comme juste. Ainsi l'école tente de faire accepter aux individus que les inégalités qui en découlent sont justes car le principe d'égalité des chances au départ a été respecté. En quelque sorte l'école veut faire accepter aux individus l'hiérarchie sociale que la société nous impose est juste par le biais de la méritocratie scolaire. [...]
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