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Après les deux guerres de l'opium de 1840 et de 1848, une partie de l'autorité impériale s'est rendue compte qu'il fallait adopter les nouvelles techniques occidentales, renforcer l'armée et développer le pays afin de s'opposer aux invasions étrangères (notamment, Liang Qichao). Pour atteindre ces buts, il était nécessaire de disposer de personnes maîtrisant les nouvelles techniques et les langues étrangères. Les modernisateurs ont donc soutenu qu'il fallait abolir Ke Ju (...) et fonder de nouvelles écoles pour s'adapter aux nouvelles circonstances et renforcer le pays. Des étudiants ont ainsi été envoyés à l'étranger et la première université est fondée en 1809. Dans ce contexte, le système de Ke Ju (...) était considéré comme une entrave au développement, en raison de son manque de souplesse. Malgré ces mesures, le mouvement d'auto-renforcement de la Chine a finalement échoué. A partir de 1905, l'éducation moderne est établie en Chine.
En 1911, la Révolution Chinoise (...) renverse l'Empire Qing et instaure la République de Chine. Le gouvernement promulgue un nouveau système éducatif, qui suit l'exemple du système éducatif japonais, et abandonne l'objet de l'éducation impériale, qui pour mieux servir l'empire, insistait sur la formation d'individus « perfectionnés ». Le gouvernement a encouragé la création des écoles primaires et secondaires. Le système à trois niveaux voit le jour : primaire (enseignement gratuit, non obligatoire), secondaire, supérieur (université). Des écoles techniques, des écoles normales et des écoles de diverses natures pour les filles ont aussi été ouvertes. Un grand nombre d'étudiants sont envoyés à l'étranger. L'éducation féodale se termine et l'éducation démocratique commence. En 1922, le système se modernise (« système 6.3.3 ») et dure jusqu'en 1949.
Après la création de la République Populaire de Chine en 1949, le gouvernement cherche à construire et organiser des infrastructures éducatives. Afin de répondre aux besoins de mettre fin à l'analphabétisme, généraliser l'éducation, développer l'économie, le gouvernement propose la simplification des caractères, diffuse la langue commune (Putonghua ...) et établit le système de transcription phonétique chinois (Pinyin ...). Le gouvernement révise aussi le système éducatif (« système 6.3.3.4 ») en s'inspirant du modèle soviétique (...)
[...] C'est une véritable catastrophe dans l'histoire éducative chinoise. Il faut attendre 1978 et Deng Xiaoping, pour que les politiques en matière d'éducation évoluent. Le gouvernement ressent alors la nécessité de développer la science, la technologie, les ressources intellectuelles et surtout l'éducation populaire afin de moderniser le pays. Avec la politique d'ouverture et de réforme, les demandes d'éducation augmentent. En 1977, Deng Xiaoping a proposé de donner la priorité au développement de l'éducation pour moderniser le pays, Gaokao (高考) est donc rétabli jeunes de 13 ans à 35 ans ont participé à ce concours. [...]
[...] L'éducation féodale se termine et l'éducation démocratique commence. En 1922, le système se modernise système et dure jusqu'en 1949. Après la création de la République Populaire de Chine en 1949, le gouvernement cherche à construire et organiser des infrastructures éducatives. Afin de répondre aux besoins de mettre fin à l'analphabétisme, généraliser l'éducation, développer l'économie, le gouvernement propose la simplification des caractères, diffuse la langue commune (Putonghua 普通话) et établit le système de transcription phonétique chinois (Pinyin 拼音). Le gouvernement révise aussi le système éducatif système en s'inspirant du modèle soviétique. [...]
[...] L'importance des examens mandarinaux, Ke Ju(科举) Les examens mandarinaux permettaient de sélectionner les fonctionnaires de la bureaucratie de l'Etat. Ce système est établi pour la première fois en 605 (à l'époque des Sui). Mais l'origine de ce système remonte à la dynastie des Han (206 av. JC à 220 av. JC). Durant la dynastie Sui, avec les lettrés, l'éducation devient plus formelle et plus livresque. A l'époque des Tang (618-907), le système continue à évoluer : le mandarinat est une aristocratie personnelle issue des concours. [...]
[...] La charge de travail scolaire des élèves est très lourde. Les solutions A ces problèmes, le gouvernement essaye de trouver des solutions. Par exemple, l'éducation obligatoire est placée sous la responsabilité du gouvernement ; la concrétisation du Projet national de généralisation de l'éducation obligatoire dans les régions défavorisées est promue ; le Projet d'Espoir est encouragé ; l'aide et le soutien ciblés sont mis en place, de façon à réduire les disparités entre les agglomérations urbaines et les régions rurales. [...]
[...] C'est donc un grand progrès dans l'histoire éducative chinoise. Ce système a existé pendant 1300 ans jusqu'à son abolition en 1905. Ke Ju(科举) a eu une grande influence sur l'éducation moderne. En France, les concours des Grandes écoles s'en inspirent. Il faut remarquer que ce système éducatif est toujours étroitement lié à la politique d'état dans la Chine ancienne, et ne correspond pas au développement de l'économie. C'est la raison pour laquelle il est abandonné en 1905, à la fin de la dynastie Qing. [...]
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