Dissertation de sciences sociales sur les classes sociales, s'efforçant de répondre au sujet suivant : "Vous montrerez que la société française apparaît de moins en moins comme une société composées de classes sociales antagonistes puis vous observerez que toutefois les inégalités et les clivages sociaux n'ont pas disparu pour autant".
[...] Le milieu social d'origine, mesuré par la PCS du père, joue un grand rôle quant aux chances d'un individu d'intégrer une grande école (du style Polytechnique ou HEC). On remarque on réel clivage entre les enfants des milieux populaires et intermédiaires, et ceux des milieux supérieur et enseignants. En effet, si un enfant d'ouvrier non qualifié a de chances d'intégrer une grande école, revanche un enfant de professeur ou de père de profession libérale a plus d'une chance sur cinq d'y arriver. [...]
[...] Les profondes inégalités en matière de réussites scolaire, de logement, de niveau de vie qui se sont accrues depuis 25 ans et cela donne en partie raison aux marxistes pour qui la société est constituée de clases sociales fermées qui se reproduisent (reproduction sociale), d'où une mobilité sociale réduite. Pour conclure, la société française est de nos jours moins composée de classes sociales antagonistes, il y a moins de conflits, de haine entre les classes sociales. Mais il ne faut pas oublier les inégalités sociales qui sont très présentes à causes surtout du nouveau critère de classement : la richesses. [...]
[...] Tout d'abord la consommation de masse provoque une homogénéisation des modes de vie. Ensuite on retrouve les facteurs économiques qui contribuent à cette homogénéisation tels que la forte économique d'après guerre engendrant une hausse globale des revenus suivie d'une consommation de masse. On constate que les conflit entre les groupes sociaux diminues, car même les dirigeants des firmes deviennent à leur tour salariés et dons le poids de la propriété du capital de l'entreprise devient moins important que ce soit les classes pauvres, où il y a beaucoup d'employés, d'ouvriers, ou les classes sociale avec les cadres qui deviennent salariés, les conflits diminues ainsi que les sentiments de haine et d'antagonisme entre les classes sociales. [...]
[...] Il existe aussi des faits entres qui se traduisent par un désavantage : les inégalités ainsi que les oppositions : les clivages, dans la société française de nos jours. Dans un premier temps, nous étudierons la société française qui apparaît de moins en moins comme une sociétés composée de classes sociales antagonistes, et dans un deuxième temps nous observerons que toutefois, les inégalités et les clivages sociaux n'ont pas disparu pour autant. De nos jours la société française apparaît de moins en moins comme une société de classes sociales antagonistes. Il y a plusieurs raisons pour expliquer ce phénomène. [...]
[...] Certes, la société française apparaît de moins en moins comme une société composée de classes sociales antagonistes, mais toutefois les inégalités et les clivages sociaux n'ont pas disparu pour autant. Loin de se réduire, les inégalités sociales ont tendances à s'accentuer depuis vingt ans. En effet, le fossé ne cesse de s'élargir, notamment en matière d'habitat entre la classe la plus riche et la classe la plus pauvres, composée majoritairement de jeunes, d'immigrés et de travailleurs non qualifiés des PCS numéro 5 et 6. [...]
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