Alors faut-il craindre ce silence ou bien plutôt les problèmes faisant du bruit autour d'eux ? »
[...] PHAM Quoc-Khanh Sujet de dissertation : nos jours il faut moins craindre le bruit des bottes que le silence des pantoufles» «L'oisiveté est comme la rouille ; elle use plus que le travail.» disait Benjamin Franklin, homme de science et homme politique américain. C'est malheureusement ce dans quoi la société actuelle est plongée . Le progrès des sciences, l'avènement de technologies facilitant notre quotidien : que demander de plus ? Plongés dans l'oisivité, nous avons bien du mal à remarquer le danger qui nous guette, on fonctionne comme du «bétail» qui se nourrit pour survivre, on se laisse endoctriner à petit feu sans se rendre compte que l'on risque sa petite vie et la vie de ses compatriotes ! [...]
[...] La peur se transmet et les gens préfèrent se plier aux ordres que de perdre la vie. Et même si certains courageux se dressent face à cette dictature, ils sont purement et simplement supprimés (cfr centres de concentration et condamnations à mort). La phase de tri a bel et bien commencé : les intellectuels, les vieux, les faibles sont éliminés afin d'étouffer toute forme de rebellion. L'endoctrinement peut alors commencer, les plus jeunes en sont les premières victimes : y a-t-il un avenir ? [...]
[...] Sans cet espace intime, ne reste que la terreur, celle d'être traqué, surveillé de partout . Le sommeil, les rêves ne sont qu'une douce illusion et il se pourrait qu'un matin on ne se réveille plus jamais. Triste situation et pourtant c'est bien l'homme qui en est responsable : impensable mais vrai. Pour conclure, notre société actuelle est constituée d'une part de vétérans de la guerre qui se comptent sur le bout des doigts et d'autre part d'une population essentiellement jeune. [...]
[...] Le soi-disant Boeing qui s'est écrasé sur le Pentagone ne serait qu'un missile tiré depuis une base américaine d'après certaines analyses, les ordres de ne pas capturer Ben Laden lorsqu'il se trouve à quelques mètres : pourquoi ? On ne le sait pas ! Nous sommes tous en droit de le savoir mais non, les dirigeants veulent conserver leur pouvoir : le mensonge permet de se donner une certaine influence de manière artificielle et force est de constater que cela marche ! D'ailleurs il suffit de mentir à n'importe qui pour voir ses chevilles gonfler, c'est simple mais nous y croyons . [...]
[...] La force et les belles paroles seraient-elles complémentaires ? Bien évidemment et Hitler l'avait bien compris : il s'y est pris progressivement en comblant les manques du prolétariat tout en satisfaisant les classes supérieures plutôt qu'en s'appropriant le pouvoir de manière non réglementaire . Il passa par la suite à un régime tout à fait opposé où la censure, la violence étaient de mise . Dans certains pays encore de type communiste tels que la Corée, les libertés individuelles ne sont qu'un rêve . [...]
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