Réflexion sur la communication, sociologie, ethnocentrisme culturel, médias, culture de masse
Il est nécessaire d'identifier le problème et de se tenir à distance de ce problème pour l'étudier (prénotions, préjugés, ethnocentrisme culturel). Ethnocentrisme culturel : sa conception de l'événement = évidence.
L'origine des conceptions des médias:(optimistes/pessimistes) provient d'une opposition de plusieurs millénaires et d'une stigmatisation de la masse (17ème), on a commencé à se méfier du peuple et de la masse.
Les médias devaient jouer un rôle (propagande/pub).
[...] Théories communicationnelles : utopie, on irait vers un monde meilleur. Lié à la technique, cherchant à gommer les effets pervers de la transmission du message. Avènement d'une culture pour tous. Communication transparente et universelle. Mystique d'un univers virtuel : immersion dans un univers virtuel, qui serait plus intéressant que le monde réel La tension raison/technique au cœur de la question de la communication. Tendance générale : la raison va être du coté du saisi du vrai et être opposée aux médias. [...]
[...] Les médias vont apparaitre comme des services publics. Les gens vont faire un usage sélectif des médias. Aspect plus positif des médias Excès de positivisme et oubli de l'idéologie (critiques) Se coupe des réflexions morales et politiques, comme si l'idéologie n'existait pas. Il a essayé de définir des relations entre des éléments observés et des variables dites indépendantes. On tend à oublier l'aspect dynamique entre les variables (le cinéma influence les gens, mais les gens vont influencer le cinéma). Simplification dans la logique de relation entre les variables. [...]
[...] Effet pervers sur la société ( destruction des grandes institutions sociales (famille) et fragilisation de la cohésion sociale. Dans la société traditionnelle, les individus étaient abrités des violences sociales grâce à la famille (ou au travail). L'individualisation du vecteur humain isole l'individu, déracinement des normes sociales. La culture de masse envahit toutes les sphères de l'existence (enfance, loisirs). Dans le système capitaliste, le seul moyen de se soustraire à ce qui se passe à l'usine et au bureau c'est de s'y soumettre pendant les loisirs. [...]
[...] Ces questions ne sont pas exploitées par leurs disciples : Faible reconnaissance scientifique concernant les travaux sur les médias (futile, vulgaire) Méfiance des pratiques des milieux populaires (moins intéressants à analyser, peur du peuple) Absence de recul historique (on a du mal à saisir l'importance des médias de masse) Les relations liées au travail industriel ou aux structures familiales qui sont considérées comme étant les plus pertinentes. En résumé : Durkheim : Anomie Weber : Désenchantement Marx : Aliénation 2. La peur des effets des médias et ses origines. Dans un premier temps vision optimiste par rapport à la presse papier. [...]
[...] Chapitre 2 L'école de Frankfort et la théorie de la culture de masse De la culture de masse à l'industrie culturelle. Les médias nous endorment, ils ne nous font pas voir la réalité. Le réel nous pousse à l'action alors que les médias nous poussent à l'inaction. Cette école fournit un modèle cohérent de la domination idéologique imposée par les médias. Son intérêt c'est quelle fournit un premier échafaudage de la domination culturelle qui s'exprime à travers les médias de masse. [...]
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