La délinquance des jeunes est un phénomène faisant partie intégrante de notre société. On ne peut traiter ce problème en se focalisant sur les populations dites « défavorisées ».
En effet, ces types de comportements concernent toutes les populations.
On observe par ailleurs, une aggravation des comportements délictueux et surtout d'actes violents. Les émeutes ayant eu lieu il y a quelques semaines à Saint-Dizier (suite à des arrestations) montrent bien cette évolution.
La délinquance se caractérise par des comportements individuels ou collectifs qui s'écartant des normes sociales créant des disfonctionnements et faisant l'objet de sanctions. Elle constitue une transgression des normes et s'oppose à la conformité.
On distingue deux types de délinquance : la première est une délinquance occasionnelle et non préméditée qui peut-être considéré comme un accident de parcours concernant 80% des jeunes délinquants. La seconde est une délinquance durable c'est-à-dire que ces jeunes n'arrivent pas à distinguer le bien du mal. Ils commettent des actes répétitifs. On pourrait presque parler de pérennité des délits.
Jadis la délinquance était un sujet moins abordé puisque les médias (radios, télévision, journaux etc.…) étaient moins diversifiés et par conséquent moins influents.
Actuellement, on tend à nous faire croire que la délinquance est un phénomène récent mais celle-ci a toujours existée. On peut constater une évolution de la délinquance, certains actes qui auraient pu être considérés comme déviant auparavant peuvent ne plus l'être aujourd'hui. Seulement un tiers des délits sont le fait d'actes isolés et les bandes sont responsables du reste. Leurs actes sont très variés : plus ou moins graves car il peut y avoir des vols, des incendies de voitures volontaires, des tags, des jets de pierres, destructions d'abris de bus ou bâtiment, émeutes, agressions, drogues etc….
[...] Ce principe se base sous le terme de la discrimination positive c'est-à-dire qu'il s'agit de donner plus à ceux qui ont le moins. Des droits sont ainsi reconnus à des personnes, des groupes, des territoires pour que l'égalité des droits reste théorique. L'objectif est de se rapprocher de l'égalité des chances. Il peut s'agir d'abord d'accorder des traitements privilégiés aux plus démunis pour diminuer les inégalités. Seulement, un des risques de la discrimination positive est de stigmatiser les personnes qui en sont les bénéficiaires. Protéger la cellule familiale est également une mesure importante pour lutter contre la délinquance juvénile. [...]
[...] Le détenu mineur est pris en charge dès son arrivée par des personnels pénitenciers de l'établissement qui travaille uniquement avec des mineurs. Des éducateurs de la Protection Judiciaire de la Jeunesse interviennent également. Après une phase d'accueil où l'on fait le point sur sa situation, le détenu intègre un quartier de détention réservé aux mineurs. En principe, il est seul dans sa cellule. Le personnel de surveillance est en charge d'assurer, sous tous ces aspects, le bon fonctionnement du quartier et de suivre au quotidien chaque mineur. Des moyens de prévention de la délinquance: lutter contre l'injustice et l'inégalité. [...]
[...] La délinquance, phénomène de société Introduction La délinquance des jeunes est un phénomène faisant partie intégrante de notre société. On ne peut traiter ce problème en se focalisant sur les populations dites défavorisées En effet, ces types de comportements concernent toutes les populations. On observe par ailleurs, une aggravation des comportements délictueux et surtout d'actes violents. Les émeutes ayant eu lieu il y a quelques semaines à Saint-Dizier (suite à des arrestations) montrent bien cette évolution. La délinquance se caractérise par des comportements individuels ou collectifs qui s'écartant des normes sociales créent des dysfonctionnements et font l'objet de sanctions. [...]
[...] Actuellement, on tend à nous faire croire que la délinquance est un phénomène récent mais celle-ci a toujours existé. On peut constater une évolution de la délinquance, certains actes qui auraient pu être considérés comme déviant auparavant peuvent ne plus l'être aujourd'hui. Seulement un tiers des délits sont le fait d'actes isolés et les bandes sont responsables du reste. Leurs actes sont très variés : lus ou moins graves car il peut y avoir des vols, des incendies de voitures volontaires, des tags, des jets de pierre, destructions d'abris de bus ou bâtiment, émeutes, agressions, drogues, etc . [...]
[...] Le délinquant se sentira impuissant et donc se dévalorisera. Ce qui peut conduire à une récidive. Mais la délinquance n'est pas irréversible certains veulent s'en sortir, ont la volonté de changer, ils notamment avec le sentiment de culpabilité, ils peuvent se remettre en question, prendre des décisions concernant leur avenir, se réinsérer dans la société grâce à une force de volonté. Les impacts au niveau familial La délinquance à de fortes répercussions sur la vie du délinquant mais elle n'est pas sans conséquence pour sa famille. [...]
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