Nombreux sont ceux qui ont tenté de cerner l'Essence de notre réalité, tenter de la dessiner sur une feuille, tenter de l'extraire d'un rêve. A son sujet, retenons quelques aphorismes qu'ils soient issus de la littérature ou d'ailleurs :
« Nous créons notre propre réalité par la manière dont nous choisissons de percevoir le monde extérieur. »
« Toute réalité ne prend son sens qu'à partir de l'instant où l'homme lui en donne une, elle ne devient absurde que quand l'homme enlève le sens qu'il lui avait attribué précédemment. »
La réalité dans laquelle nous évoluons et dite construite socialement. Qui dit construite dit non figée, mais remise à jour au gré des époques, de l'engagement des individus qui la vivent.
[...] BIBLIOGRAPHIE BERGER Peter, LUCKMANN Thomas, la construction sociale de la réalité, Masson, Paris CORCUFF Philippe, les nouvelles sociologies, Éditions Nathan, Paris pagent 155-175. DUBAR Claude, la socialisation : Construction des identités sociales et professionnelles, Armand Colin introduction, page 5. Pour la réalisation du diaporama, toutes les images ont été trouvées à l'aide du moniteur de recherche GOOGLE. La musique imagine est extraite de l'album One de The BEATLES et Waiting on an Angel est extraite de l'album Welcome To The Cruel World de Ben HARPER PERLMAN Elliot, Extrait d'Ambiguïtés. [...]
[...] La légitimation est donc nécessaire à la transmission, et cela par un processus d'explication et de justification. En effet, elle explique l'ordre institutionnel en lui accordant une validité cognitive et le justifie en lui offrant une dignité normative. La légitimation est à la foi cognitive et normative, elle implique donc de la connaissance en plus de la valeur pour qu'ainsi l'individu comprenne ce qu'il faut faire ou ne pas faire c'est-à-dire quelle action lui est confié et quelle action ne l'est pas, mais aussi pourquoi les choses en sont ainsi. [...]
[...] Cette perception est d'ordre subjectif. L'identité est bien plus qu'un simple accord entre ce que l'autre voit de nous et ce que nous percevons de nous-mêmes. Avoir une identité, c'est exister, avoir une identité professionnelle c'est avoir une existence en tant qu'être socialement intégré, socialement utile. La perte de notre identité peut-être mit en corrélation avec la déstructuration identitaire qu'on vécut les juifs dans les camps de concentration. On les nommait Stück littéralement morceaux refusant ainsi de les nommer en tant qu'être humain, refusant ainsi de leur attribuer une nature dite humaine. [...]
[...] L'univers symbolique, ordonne également l'histoire en situant les événements collectifs dans le passé, le présent, le futur. Il établit une mémoire du passé et une projection de l'avenir reliant les prédécesseurs et successeurs, mais de façon extérieure à eux. L'homme est constructeur de cet univers symbolique, en effet en s'extériorisant il construit le monde et projette ses propres significations de la réalité où en faisant appel au cosmos en entier, valide la signification de l'existence humaine. L'univers symbolique pour continuer d'exister et de fonctionner doit être maintenu, toutes les légitimations servent à cela. [...]
[...] La construction sociale de la réalité Peter BERGER et Thomas GLUCKMANN INTRODUCTION Nombreux sont ceux qui ont tenté de cerner l'Essence de notre réalité, tenter de la dessiner sur une feuille, tenter de l'extraire d'un rêve. A son sujet, retenons quelques aphorismes qu'ils soient issus de la littérature ou d'ailleurs : Nous créons notre propre réalité par la manière dont nous choisissons de percevoir le monde extérieur. Toute réalité ne prend son sens qu'à partir de l'instant où l'homme lui en donne une, elle ne devient absurde que quand l'homme enlève le sens qu'il lui avait attribué précédemment. [...]
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