Il y a soixante ans, la classe ouvrière était en forte augmentation suites aux révolutions industrielles qui ont été conséquentes. Mais aujourd'hui, on peut remarquer une augmenter dans le secteur tertiaire ce qui pourrait nous amener à penser : où en est la classe ouvrière ?. Mais qu'est-ce que c'est la classe ouvrière ? La classe ouvrière est constituée de personne avec ou sans qualification travaillant dans le secteur industriel, mais elle comprend une culture différente à celle des bourgeois ou autres. Par ailleurs, cette classe ouvrière a évolué comparer à autrefois.
Tout ceci nous amène à la question : peut-on parler de disparition de la classe ouvrière ? (...)
[...] On peut parler de disparition de la classe ouvrière. Cependant, ce manque d'argent peut être comblé par les crédits, car ils se sont beaucoup développés, pour leurs permettent d'avoir un pouvoir d'achat plus important. De ce fait, ils ont l'impression d'avoir un meilleur pouvoir d'achat, alors qu'ils ont des dettes envers la banque. On peut voir que grâce à cet effet de la hausse du pouvoir d'achat, les ouvriers ont un équipement quasiment équivalent aux cadres.par exemple, il y a des ménages ouvriers qui ont un magnétoscope et un lecteur DVD, contre des cadres. [...]
[...] Donc les ouvriers ne se reconnaissent plus dans les débats de partie de gauche, les suffrages du PCS ont fondu car la question de la lutte des classes n'est plus au cœur des débats politiques. Il y a disparition de la présence ouvrière dans le paysage politique. Comme nous avons dit précédemment, la culture ouvrière s'est transformée en même temps, que les progrès technologiques. On peut le voir avec le cas des fils venant de père ouvrier, ils ont tendance à ne pas suivre la même catégorie que leurs parents. Il n'y a quasiment plus de reproduction sociale. [...]
[...] Puis il y a également le cas, où les ouvriers invitent leurs amis à domicile. On peut dire que les ouvriers veulent avoir la même pratique que les cadres. Toutes les familles s'adaptent au mode de vie médiatisé. La culture ouvrière est dans une phase de contre-culture. C'est-à- dire qu'ils créent leur propre culture de groupe d'appartenance. Ils agissent ainsi car ils se sentent exclu, par opposition à la culture dominante. Dans le milieu d'aujourd'hui, on peut le voir avec la polarisation des riches et des pauvres, dont les ouvriers et les bourgeois. [...]
[...] Ensuite, l'effet de génération de la classe ouvrière est maintenant moins important. Pour les jeunes venant du milieu ouvrier, cela est mal vécu. Les fils ne suivent pas le processus de production. Les enfants évoluent par rapport à la situation initiale de leurs parents. On peut voir qu'entre 1920 et 1925, il y a des fils de père ouvrier qui sont dans la catégorie ouvrier. Cependant il y a des fils de père ouvrier qui sont dans la catégorie de profession intermédiaire. [...]
[...] Certains se sont enfoncés dans la précarité, le chômage ou en accumulant toutes sortes d'exclusions. On peut donc dire que la classe ouvrière admet une certaine disparition, mais qui présente des aspects de mutation, d'évolution assez importante pour améliorer leurs mode de vie, leur place dans la société et auprès des individus. Cependant cette vision reste mal perçue au niveau des fondements sociologiques de notre société. Donc on peut se demander s'il y a un recul de la classe bourgeoise ? [...]
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