L'avenir d'un jeune doit-il lui être imposé, ou au contraire chacun devrait-il avoir la chance d'écrire son futur tel qu'il le souhaite ?
Dans un premier temps, posons-nous la question de ce qu'est l'avenir pour un jeune. Au départ de cette représentation, nous pouvons aborder la signification de la page blanche et l'envisager de trois manières différentes. Tout d'abord comme une liberté, un vide positif qui permet aux jeunes de faire des choix. Ensuite comme une absence de décision et d'initiative qui amène doute et peurs. Finalement, nous soulèverons l'opposition à la page blanche, le déjà écrit (...)
[...] L'avenir d'un jeune est-il une page blanche ? L'avenir d'un jeune doit-il lui être imposé, ou au contraire chacun devrait-il avoir la chance d'écrire son futur tel qu'il le souhaite ? Dans un premier temps, posons-nous la question de ce qu'est l'avenir pour un jeune. Au départ de cette représentation, nous pouvons aborder la signification de la page blanche et l'envisager de trois manières différentes. Tout d'abord comme une liberté, un vide positif qui permet aux jeunes de faire des choix. [...]
[...] Ils voudraient tout faire et ne rien abandonner. Par opposition, nous rencontrons aussi des jeunes pour lesquels l'avenir est déjà tracé. C'est le concept de la page déjà écrite. On pourrait même parler de destin. L'avenir de ces jeunes est entre autre déterminé par l'éducation, la culture, le milieu social et ce dès le plus jeune âge. Leur liberté de choix est donc moins grande. Par exemple, le Prince Philippe, est éduqué, instruit pour devenir Roi. D'autres suivent les traditions familiales : je serai médecin comme mon père je dirigerai l'entreprise de la famille Dès leur naissance, le parcours de leur vie est déjà tracé. [...]
[...] Si l'avenir des jeunes n'est pas tracé, nous l'associons au concept de la page blanche. Notre avenir serait-il une page sera laquelle il n'y aurait rien encore d'écrit? Face à cette situation, nous trouvons deux types d'attitudes. Dans un premier cas, le jeune a toute liberté dans ses choix. Il construit sa vie comme il l'entend et gère lui-même ses choix en réalisant des projets. Par exemple, dans ses études, il choisira seul ses options sans influence extérieure. C'est également le cas de celui qui décide très tôt une profession future comme Justine Henin qui, dès son plus jeune âge, a voulu devenir championne de tennis. [...]
[...] Ils devront reconsidérer leurs projets et redémarrer avec de nouveaux choix. La chance peut elle aussi modifier l'avenir du jeune. Si une famille de milieu défavorisé gagne au loto, le jeune issu de ce milieu pourra reprendre des études s'il le souhaite. En conclusion, nous devrions considérer une page blanche comme une occasion d'écrire le futur que nous voulons. Si toutefois nous devons faire face à des épreuves, notre rôle ne sera-t-il pas toujours d'avoir la possibilité de choisir et de tourner la page pour en écrire une nouvelle ? [...]
[...] C'est le cas de l'enfant-bof Tout lui est égal, il n'a pas de préférence. Par exemple, ce peut être un jeune qui s'est entendu dire très jeune qu'il n'était bon à rien. Ce discours se répétant, il va perdre peu à peu confiance en lui. Il doutera de ses capacités, il craindra l'échec et aura peur de faire des choix. Il se repliera sur lui-même et n'osera pas faire de projets. Parallèlement, il y a des jeunes qui sont intéressés par de nombreuses options. [...]
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