Il est de nature incontestable que la jeunesse s'adonne aux "plaisirs de la vie" (alcool, drogue, ...), pourquoi lui en vouloir ?
Il paraît tout d'abord essentiel de restituer ce phénomène sociétal dans son contexte. En effet, ce n'est pas un fait d'actualité que les jeunes sont portés sur la boisson alcoolisée. La consommation d'alcool remonte à l'Antiquité, rituels sacrés ou convivialité festive. Puis, pendant les campagnes napoléoniennes, il fut utilisé comme un remède : c'était le seul anesthésique utilisé (...)
[...] C'est pourquoi, je demande que l'on rende le bonheur aux jeunes, ils n'ont pas demandé à venir sur terre, alors, si vous voulez qu'ils assurent leur avenir, donc, qu'il fasse des études pour éviter de vivre avec un SMIC, donner leur les moyens de le faire Pour conclure, je pense que c'est un manque de cohérence dans notre société entre une morale louable et des pratiques politico-économique bafouant le droit à la liberté qui rend légitime la consommation de drogue. Quelle attitude un jeune doit-il adopter face à de tels paradoxes ? Quand la société changera, quand nos pères prendront conscience du virus social qui enfle, peut-être pourront nous dire adieu à l'image stéréotypée du jeune et sa bouteille de whisky. [...]
[...] Ainsi, un certain temps est nécessaire pour ajuster les deux situations et permettre à nos futures générations de jeunes de comprendre le vice du plaisir. Il est temps, maintenant, d'observer ce qu'il se passe actuellement en bas de chez nous. Ceci dans le but de savoir si la société a réellement pris conscience du danger des drogues. En effet, sur des panneaux publicitaires, à la télé, sur le web ou dans les journaux, vous pourrez trouver nombre de campagnes de sensibilisation du danger de l'alcool et surtout de l'alcool au volant. [...]
[...] Or, la consommation d'alcool de manière récurrente entraînera des phénomènes de dépendance non négligeable, dont les manifestations futures seront : troubles du comportement, pertes de mémoire, cirrhose, schizophrénie Il peut, donc, sembler regrettable cet ensemble lacunaire d'informations. D'autant plus que pour le développement de l'adolescent, l'alcool peut avoir des conséquences irréversibles et au-delà de soi, les problèmes liés à l'alcool concernent l'ensemble des personnes qui nous entourent. Ainsi, nous faisons face à une société hypocrite où la consommation d'alcool est rendue facile. Dans un bar, un verre ne coûtera guère plus cher qu'un soda. [...]
[...] Il paraît tout d'abord essentiel de restituer ce phénomène sociétal dans son contexte. En effet, ce n'est pas un fait d'actualité que les jeunes sont portés sur la boisson alcoolisée. La consommation d'alcool remonte à l'Antiquité, rituels sacrés ou convivialité festive. Puis, pendant les campagnes napoléoniennes, il fut utilisé comme un remède : c'était le seul anesthésique utilisé. Mais, c'est au XIXème siècle qu'apparaît la notion d'alcoolisme. Un cadre législatif fut alors mis en place afin d'en préserver la jeunesse (à partir de 1871). [...]
[...] Car, ce n'est plus une société préventive mais véritablement répressive que nos parents nous ont permis de connaître. Et, afin de se conformer aux lois de la société, de répondre aux normes, les jeunes habitués par leur famille à s'entendre dire que pour faire la fête rien ne vaut un bon verre d'alcool, n'hésiteront guère face à la consommation. Soumis à une pression familiale et scolaire intense, les jeunes ont trouvé une pseudo-solution : faire la fête pour oublier ses problèmes le temps d'une soirée. [...]
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