Plafond de verre, harcèlement sexuel en entreprise, harcèlement sexuel, agression, gestion autocratique, lieu de travail, femme
"J'ai utilisé pour la première fois l'expression "plafond de verre" en 1978 lors d'une table ronde sur l'aspiration professionnelle / l'ambition des femmes. Pendant que j'écoutais, j'ai noté comment les panélistes (femmes) se concentraient sur les lacunes de la socialisation des femmes, le comportement d'autodérision des femmes et la mauvaise image de soi que de nombreux présages auraient véhiculée. Ce fut difficile de rester assise tranquillement et écouter les critiques. "
[...] Vous ne pouvez pas être des spectateurs à cet effort. Au lieu de cela, vous devez agir." Plutôt que d'accepter que le plafond de verre soit inévitable, il est temps pour les institutions de reconnaitre que ces préjugés intégrés dans leurs cultures prédisposent de nombreux hommes à la réussite professionnelle tout en diminuant les qualités, le style et les capacités de la majorité des femmes talentueuses doivent être éradiqués. Je veux parler des préjugés qui supposent que les hommes sont "nés dirigeants", que les mères actives ne sont pas engagées dans leur carrière, que les femmes sont trop émotives, que l'harcèlement sexuel n'est pas un problème, et et qu'il n'y a pas de place dans la direction pour les personnes qui parlent à voix basse, qui ont un haut degré d'intelligence émotionnelle et qui préfèrent un leadership participatif à une gestion autocratique. [...]
[...] Il n'y avait pas non plus de sensibilisation dans les organisations sur gravité de ce problème et aucun intérêt à l'écouter ou le résoudre. Le 24 mai 2018, le "plafond de verre" va avoir 40 ans. Qu'est ce qui a changé pour les femmes actives à cette époque ? Le simple nombre de femme cadre a augmenté de façon spectaculaire dans la plupart des secteurs et pourtant, la métaphore continue de symboliser une barrière persistante à l'égalité des genres, une qui a été normalisée dans nombreuses organisations où il y a un sentiment de complaisance par rapport au manque de femmes au sommet. [...]
[...] À plusieurs reprises, on m'a dit que la promotion des femmes aux postes de gestions intermédiaires "dégradait l'importance" de ceux-ci. Une fois, on m'a dit que malgré mes meilleurs rapports de performance, une promotion que j'espérais aller être donnée à un collègue homme. La raison donnée était qu'il était "l'homme de famille", qu'il était le soutien principal et donc il avait plus besoin de cet argent. Une fois, on m'a dit que malgré mes meilleurs résultats, une promotion que j'espérais allait aller à un pair masculin. [...]
[...] Pendant que j'écoutais, j'ai noté comment les panélistes (femmes) se concentraient sur les lacunes de la socialisation des femmes, le comportement d'autodérision des femmes et la mauvaise image de soi que de nombreux présages auraient véhiculée. Ce fut difficile de rester assisse tranquillement et écouter les critiques. Certes, les femmes semblaient incapables de monter les échelons de carrière au-delà de l'échelon intermédiaire. Mais j'ai soutenu que le "plafond de verre invisible", les obstacles au progrès qui sont culturels et non personnels, causaient l'essentiel des dommages aux aspirations et opportunités des femmes. J'étais une professionnelle expérimentée des ressources humaines dans le secteur des télécommunications et pourtant mon patron (masculin) me disait souvent de "sourire plus". [...]
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