Les travaux de sociologie de l’école de Chicago

Thèmes abordés

Travaux, sociologie, école, Chicago

Résumé du document

Chicago est la seconde ville des USA. Il y a une énorme explosion démographique. C'est une ville champignon. En 70 ans il y a une ville qui a poussé. C'est une ville importante car c'est la ville carrefour, c'est une plaque ferroviaire, c'est le centre mondial du commerce des grains, de la viande et des boites de conserve. C'est un haut lieu d'industrialisation dans le monde. C'est un lieu de melting pot c'est-à-dire de mélange complet des vagues d'immigration. À l'époque il y a beaucoup d'allemands, de scandinaves, de grecs, d'italiens mais aussi toute une population afro américaine. La vie intellectuelle noire se passe à Chicago. C'est un lieu de mouvements sociaux extrêmement violents. Il y a un grand mouvement syndicaliste avec des luttes ouvrières, de grandes grèves. C'est une ville à la foi organisée et désorganisée.

Extraits

[...] Il va parler de la socialisation secondaire. Il y a une articulation de la socialisation primaire et secondaire. La socialisation par apprentissage devient une socialisation à part entière car les parents n'interviennent plus. La famille ne maintient plus le lien. Les enfants sont vus comme une charge qui coute de l'argent. Wladek va décrire le cercle vicieux qui dit qu'il est impossible d'échapper à cette socialisation secondaire. Il décrit le sous prolétariat qui ne peut pas faire d'économie. Cette situation interdit la possibilité de devenir artisan. [...]

[...] Il faut faire une typologie des parcours migratoires en Pologne. Ils définissent 3 parcours : - Le philistin : le conformiste - Le bohème : le marginal - Le créatif : l'adaptateur. Ils les définissent selon les différents rapports aux changements, aux évolutions. - Le premier type d'évolution c'est les conformistes. C'est un type de migrant qui est conformiste en Pologne et quand il arrive en Amérique, ils sont très désorganisés, perdus. Ils peuvent donc avoir des comportements de déviance, extrême. [...]

[...] Il y a aussi une sociologie des émotions. Par l'exhibition des émotions on a le marquage de confrontation sociale. Il y a la mise en place d'un système individualisme qui peut expliquer l'immigration. L'histoire de Wladek montre l'histoire des cycles. Il montre que les parents polonais vont exploiter leur enfant sur le territoire américain. Ils vont demander une solidarité traditionnelle alors qu'ils n'ont pas élevé leur enfant de façon traditionnelle. L'école de Chicago va essayer de théoriser la socialisation, la structure sociale. [...]

[...] La sociologie de l'école de Chicago. L'école de Chicago. William Thomas et Florian Zaniechie "La paysan polonais en Europe et en Amérique" Anderson Le hobo, sociologie du sans-abri L'école de chicago. Chicago est la seconde ville des USA. Il y a une énorme explosion démographique. C'est une ville champignon. En 70 ans il y a une ville qui a poussé. C'est une ville importante car c'est la ville carrefour, c'est une plaque ferroviaire, c'est le centre mondial du commerce des grains, de la viande et des boites de conserve. [...]

[...] William va mettre des annonces pour acheter les lettres des polonais. Ils ont payé un boulanger polonais pour écrire son autobiographie. Ils vont également recueillir des archives de flux migratoires des polonais. Ils ont aussi des documents officiels sur les travailleurs sociaux polonais et américains. Ils ont donc des recueils intimes. Les documents provoqués par les sociologues ont autant de valeur que les documents spontanés. Ce qui compte c'est l'interprétation. Pour étudier sociologiquement l'intime, il faut une très grande connaissance du milieu étudié. [...]