Théories de la criminalité, théorie de Lombroso, théorie multifactorielle de la criminalité, théorie de l'École socialiste, actes criminels, criminel-né, violeur, meurtrier, voleur, psychologie sociale, physiologie, Enrico Ferri, Adolphe Quetelet, André-Michel Guerry, statistiques de criminalité, loi thermique de la criminalité, alcolémie, Karl Marx, Engels, psychopathies, classe sociale
D'après cette théorie, la criminalité d'un individu peut être le résultat de facteurs endogènes aussi bien qu'exogènes, c'est-à-dire que les conditions atmosphériques peuvent également influer sur le comportement de certains individus les conduisant ainsi à commettre des actes criminels.
[...] Toutefois, quoique sa théorie ne soit pas défendable scientifiquement parlant, Lombroso a eu tout de même le mérite d'attirer l'attention sur la possibilité d'aborder la criminalité sous un angle scientifique. Il a même été la première personne à donner une explication scientifique au phénomène criminel. La théorie multifactorielle de la criminalité D'après cette théorie, la criminalité d'un individu peut être le résultat de facteurs endogènes aussi bien qu'exogènes, c'est-à-dire que les conditions atmosphériques peuvent également influer sur le comportement de certains individus les conduisant ainsi à commettre des actes criminels. [...]
[...] C'est ce qu'on appelle « la loi thermique de la criminalité ». Cette période fut marquée par un essor considérable de l'industrialisation de l'Europe, cela a favorisé quelque part la prolifération des atteintes contre les propriétés des particuliers, notamment les travailleurs qui délaissaient leurs maisons pour aller travailler dans les cités industrielles, laissant ainsi derrière eux des propriétés immeubles sans aucune protection. C'est pourquoi il y a eu une augmentation fulgurante des cambriolages nocturnes en bande organisée. Quid des atteintes contre les personnes ? [...]
[...] Ce n'était pas tout à fait vrai, parce qu'il y avait quand-même la criminalité organisée dans les pays socialistes. En ex-Albanie par exemple, le citoyen était privé de la liberté d'expression, il ne pouvait pas contester même le tarif des produits du pays car cela revenait à dire que le système économique était défectueux. Tous les citoyens étaient mis sur écoute et n'avait guère le droit de posséder des téléphones personnels . C'était une sorte de criminalité légalisée à l'époque, dont l'État était lui-même l'instigateur, car il privait les citoyens de leurs droits fondamentaux. [...]
[...] Il distingue entre : Le violeur : Il le décrit comme étant une personne avec de longues oreilles, les yeux obliques, le nez épaté et l'écrasement du crâne. Le voleur : Il a de petits yeux, des sourcils épais, la barbe rare ou la barbe rase Le meurtrier : Il se caractérise par l'étroitesse du crâne, la longueur des maxillaires et les pommettes saillantes. Lombroso a également pris en compte un caractère psychologique essentiel faisant partie de la personnalité du criminel, à savoir l'insensibilité. Le vrai criminel ne ressent aucune compassion envers ses victimes, aucune pitié. [...]
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