Inégalités sociales, loi ontologique, principe axiologique, néo-libéralisme, valorisation des inégalités, égalité, égalité des chances, Pierre Bourdieu, reproduction sociale, Dubet, diversité, valorisation de la diversité, John Rawls, capitalisme, Alexis de Tocqueville, protection sociale
L'idée est de poser une série de constats pour nous faire comprendre que les inégalités forment un système et que d'un point de vue analytique il vaut mieux les penser à l'aube de ce système.
[...] Ce serait plutôt l'accès à la démocratisation des bien culturelle qui serait favorable. Elle fut critiquée à travers d'autres travaux de philosophes américains : R. WOZICK (radicalise la perspective libérale de RAWLS, M. WALZER, A. SEN ( il met au centre de l'égalité et de la justice la notion de la capabilité - la liberté dont une personne peut jouir réellement) et HAYEK (il dénonce le mirage de la justice sociale - seul une décision individuelle peut être décréter juste ou injuste). CONCLUSION Comment on agit sur les inégalités ? [...]
[...] La conflictualité : On a des inégalités donc forcément les groupes sociaux rentrent en confit plus ou moins ouvert selon les cas. L'idée est d'améliorer sa position sociale et de garder sa position sociale. Ce qui se joue est la redéfinition de ce qui est juste ou injuste, ce qui acceptable ou inadmissible, souhaitable ou ce qui ne l'ai pas du point de vue de la richesse produite et de la répartition de la richesse. I. Le fait que dans nos sociétés contemporaines ont retrouve des discours qui légitiment les inégalités Histoire : Aujourd'hui, les politiques néo-libérales sont devenues dominantes (doctrine qui prône une liberté maximale pour les entreprises et le moins d'intervention de l'état) et elles sont propices à créer un environnement où les capitaux circulent. [...]
[...] Cela devrait aller de soi. Il considère que la diversité contribue au maintient des inégalités selon cet auteur. Leur combat sont les discriminations, à travers de multiples filtres de différences culturelles. La notion de diversité, nous impose de respecter les différences mais, elle masque le fait que ceux qui subissent des discriminations/préjugés sont d'abord victime d'inégalité économique objectives mis en place au sein de la structure sociale. - Il y a cette idée que la diversité n'est pas un bon moyen pour instaurer l'égalité, mais finalement c'est plus une méthode de gestion de l'égalité. [...]
[...] Ce serait le plus talentueux et les plus chanceux qui gagnent = discours qui gomme les rapports sociaux et économiques. Cette argumentation est ancrée dans notre culture et là aussi cette égalité des chances est facilement critiquable. Si l'on s'en tient à l'égalité des chances : de quelles chances ? dans quel domaine ? Il y a de personnes qui ont de la chance et d'autres qui en on pas (oxymore). Il s'agit aussi de mettre à l'abris, les personnes des couts malheureux du hasard. [...]
[...] Pour cela, on a ouvert la voix à l'égalité des chances au lieu de l'égalité des places. On est dans un autre dispositif social - mis en ?uvre des ZEP, les cotât dans les grandes écoles? En ce sens, on va aussi analyser les inégalités sociales comme des discriminations et on va chercher à agir sur l'équité de la composition sociale et on n'agit pas sur les inégalités de conditions de vie (de bases). DUBET pointe les effets pervers du modèle de l'égalité des chances (conséquence injuste) : - Il accentue le clivage entre les vainqueurs et les vaincus c'est quelque chose qui individualise, on privilégie les élites et ont blâmes les vaincus. [...]
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