Le constat d'inégalité des chances se fonde en général sur "la différence, en fonction des origines sociales, dans les probabilités d'accès aux différents niveaux de l'enseignement et particulièrement aux niveaux les plus élevés" (Boudon, 1973). A cette aune, les inégalités sociales sont importantes, stables et universelles (dans les pays développés du moins). Pour ne prendre qu'un exemple, parmi les élèves entrés au collège en 1989, 85% des enfants d'enseignants (82% chez les enfants d'autres cadres) obtiendront un baccalauréat général ou technologique contre 23% des enfants d'inactifs (31% chez les enfants d'ouvriers non qualifiés). Les inégalités apparaissent alors massives, d'autant plus qu'on oppose les situations extrêmes, et qu'on néglige la variance, souvent significative, qui subsiste au sein des groupes ainsi opposés (...)
[...] C'est le principe de la redistribution. Les inégalités de niveau de vie Rapport inter-décile = D9/D1 = 50000/11000 = 4,55 On observe donc qu'il y a une plus grosse différence entre le niveau de vie que le salaire. L'augmentation globale du niveau de vie aurait profité principalement aux plus modestes et aux plus riches. Pourtant 6,9 millions de personnes avaient en 2004 un revenu inférieur au seuil de pauvreté (788 euros par mois). Les familles monoparentales et les personnes seules étaient les plus touchées. [...]
[...] Le d5 représente le revenu médian. Ex : D9/D1 = 2959/1005= Alors 10% de la population la plus riche gagne au moins 2.94 fois plus que les 10% de la population la plus pauvre Les salaires élevés sont dus à la brièveté de la carrière, de la responsabilité et des compétences ainsi qu'à l'image. Les rapports inter-déciles montrent que les inégalités sont en baisses, effectivement : En 1995 le rapport inter-décile était de En 1995 le rapport inter-décile était de En 2000 le rapport inter-décile était de C'est pendant la période des trente glorieuses que le rapport inter-décile baisse le plus grâce au compromis fordisme = bon salaire. [...]
[...] Pour Marx c'est l'économie qui détermine le social et le politique. Une classe selon Weber c'est la quantité de biens et de services. L'unité de classe se forme du sociale ainsi que du politique Il faut aussi avoir conscience d'appartenir à cette classe mais les classes sociales ne défendent pas obligatoirement un intérêt commun. III L'approche des groupes sociaux Au niveau de l'emploi Le salaire 90% des actifs occupés sont des salariés mais il reste beaucoup de différences. Il y a des différences de salaires, de qualifications et de statut Tertiairisation des emplois Très forte féminisation des emplois L'augmentation des qualifications Norme c'est l'obtention du BAC ou avoir un BTS La moyennisation de la société Henri Mendras Il y a un resserrement des inégalités au tour des revenus médians. [...]
[...] Les égalités : Employés et ouvriers ont des conditions de travail dictées par une machine, les cols blancs = ouvriers, salaires similaires, origine similaire. La masse moyenne a de contraintes floues La classe moyenne se situe entre dirigeants et exécutants. Il y a une grande diversité de diplômes en moyenne c'est un BAC mais certains on plus et d'autre on moins. On peut être cadre sans avoir un niveau de diplôme très élevé. La classe moyenne peut-être organisée selon le critère économique et le critère culturel. [...]
[...] Chapitre 6 : La dynamique de la stratification sociale Introduction : Différences et inégalités par le prénom. Le prénom est une différence : il différencie les individus dans une même famille. Il sert à différencier les individus. Il véhicule d'autres différences comme la religion, l'origine, les époques. Le prénom est à l'origine d'inégalités : il peut être considéré comme un marqueur social. Il donne l'origine éthique, la CSP des parents, l'âge, la religion alors il peut-être source de discrimination. La différence devant cela devient source d'inégalité. [...]
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