A. COMTE, a forgé le terme de "sociologie" en 1830 et BOURDIEU dans "le métier de sociologue" doit s'efforcer de faire une rupture avec le sens commun (presse, médias...). Il faut faire attention aux "évidences aveuglantes". Ce qui semble naturel ne l'est pas, car c'est le résultat de groupes sociaux qui fait apparaître une illusion car ils ont réussi à naturaliser l'ordre des choses.
Par exemple, donner une poupée à un garçon (...)
[...] C'est à dire que la sociologie pour lui s'inscrivait dans le prolongement des sciences de la nature. Pour WEBER c'est une approche qualitative. C'est à dire qu'il faut différencier les sciences de la nature des sciences de la culture. Il affirme que le comportement des hommes aura de l'importance que par rapport à des valeurs. Il concilia une double approche qui parle des lois intermédiaires, de moyenne portée, qui ne sont pas des fins en soi et que certains aspects de la réalité peuvent être vu ; et de comprendre l'activité humaine. [...]
[...] Cette transformation va s'institutionnaliser à travers l'église. Pourquoi nous on y croit plus C'est depuis que l'on a un système explicatif d'ordre scientifique que les notions de magique et de surnaturel sont apparues. Ce n'est pas parce qu'on a un système explicatif scientifique, qu'il n'existe plus / pas des comportements magiques - surnaturels pour expliquer les choses Article : Les sectes protestantes en Amérique WEBER C'est une analyse de stratification sociale avec la confiance. Il définit la secte comme quelque chose qui se distingue de l'église, qui n'est pas d'héritage mais un choix. [...]
[...] Grands traits de la démocratie La Démocratie américaine est semblable : tous les hommes sont des êtres humains en tant qu'être humain, rapproche les hommes car ils ne font pas de différenciation et repose sur des valeurs et quatre piliers qui sont la Liberté d'expression, d'association, l'alternance politique et l'indépendance de la justice 3. Risques Le premier est le Risque d'atomisation. c'est à dire qu'il y a disparition des relations hiérarchiques. Les gens peuvent se renfermer sur eux même. Il y a une source de dé liaison (l'égalité peut faire penser que chaque homme peut se suffire à lui - même). Il y a un risque de concurrence et de ne plus percevoir le lien entre son intérêt personnel et la prospérité générale. [...]
[...] On agit sans se soucier des conséquences de l'action car nos valeurs qui l'emportent. Exemple avec le coup de tête de Zidane) et l'éthique de la responsabilité qui est de prendre en compte les conséquences de ses actes, rationalité en finalité. Ces deux éthiques montrent bien combien dans la perspective de Weber, il est difficile d'avoir un niveau explicatif mettant en évidence des lois de fonctionnement des sociétés qui renverraient à des régularités car le résultat global est le plus souvent la conséquence non voulu des acteurs. [...]
[...] Il explique le social à partir de comportement individuel et des raisons que les acteurs ont d'adhérer à des sectes. On assiste là, à une mise en relation d'un système explicatif : le commerce fait parti de la religion. Les travaux de WEBER La conception du social Pour Durkheim, le social est extérieur aux individus, il s'impose aux individus sans qu'il le vive comme une contrainte. Par exemple, la mode qui s'impose aux individus sans qu'ils la voient comme une contrainte Pour Weber, la société ne s'impose pas aux individus car il y a des effets de compositions ou d'agrégations. [...]
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