Le XIXe siècle est un siècle de rupture, où il y a une nouvelle forme de compréhension des phénomènes pour pouvoir agir par la suite. Le XIXe siècle est héritier de deux évènements, à savoir la Révolution française et la Révolution industrielle. Par exemple, l'exode rural et l'urbanisation des villes. La ville et les phénomènes nouveaux (alcoolisme, isolement, moins de solidarité dû à l'entassement...).
On ne peut pas agir sur les nouveaux problèmes sociaux avec les méthodes traditionnelles ; une intervention nouvelle est à prévoir. Et ceci est le travail du sociologue (...)
[...] Dans le commentaire, c'est ce qui se diffuse facilement et dans le discours sociologique il y a une rupture avec le sens commun et on s'affranchit du commentaire. P. VEYNE disait que derrière tous phénomènes sociaux, il y a une invariante (quelque chose qui existe sous différente forme) et il identifie les problèmes sociaux comme le fait de comprendre ce qui fait problème permet de nous faire voir ce qui doit être résolu II. Contexte de naissance de la sociologie A. [...]
[...] Il montrera les conséquences de la démocratie pour chaque individu et l'égalité du régime qui n'est pas forcément plus de liberté. La Démocratie américaine est semblable. Tous les hommes sont des êtres humains en tant qu'être humain, rapproche les hommes car ils ne font pas de différenciation et repose sur des valeurs et quatre piliers qui sont la Liberté d'expression, d'association, l'alternance politique et l'indépendance de la justice. Il y a des risques. Le premier est le Risque d'atomisation, c'est- à-dire qu'il y a disparition des relations hiérarchiques. Les gens peuvent se renfermer sur eux même. [...]
[...] C'est à dire que la sociologie pour lui s'inscrivait dans le prolongement des sciences de la nature. Pour WEBER c'est une approche qualitative. C'est à dire qu'il faut différencier les sciences de la nature des sciences de la culture. Il affirme que le comportement des hommes aura de l'importance que par rapport à des valeurs. Il concilia une double approche qui parle des lois intermédiaires, de moyenne portée, qui ne sont pas des fins en soi et que certains aspects de la réalité peuvent être vu ; et de comprendre l'activité humaine. [...]
[...] Il ne pense pas que cette crise sociale soit le résultat du progrès industriel. Il pose le problème autrement en utilisant l'indicateur de l'anomie (perte du sentiment de solidarité, perte de la représentation de sa place qu‘il occupe dans la société). Il met en avant la corporation (regroupement de petit individu) permettant la régulariser la vie sociale. L'état doit avoir des relais dans la société ayant une influence morale. La corporation doit se calquer à la famille, un lien sociale de proximité, d'accueil, de chaleur c'est réintégrer de la solidarité mécanique au cœur de la solidarité organique. [...]
[...] L'institutionnalisation de la sociologie : La pensée de M. Weber et E. Durkheim Ces deux pères fondateurs se sont retrouvés pour affirmer l'idée du caractère historique ou social et non pas naturels ou biologiques des faits de la société. L'affirmation expliquer le social par le social les distingueront de la biologie. La sociologie doit s'affirmer comme discipline qui explique le social par le social. Il y a plusieurs conséquences qui sont la discipline explicative et la différence entre les disciplines ne tient pas à l'objet mais au point de vue que l'on a sur l'objet. [...]
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