Morphologie sociale, sociologie urbaine, École de Chicago, violences urbaines, problèmes sociaux
La construction d'une discipline : la sociologie urbaine.
Selon Maurice Halbwachs : "l'espace tient du temps condensé".
>> La ville, c'est le reflet d'une organisation sal, structure sal, politique. Miroir de la société. Morphologie sociale de Durkheim. L'activité sal fait la ville. L'espace physique traduit les Structures de la société.
>> La ville influence aussi les comportements sociaux, les pratiques sociales. La ville influence réciproquement les individus, les mentalités.
Deux paradigmes s'affrontent donc.
[...] Elle perd ses qualités humaines. L'urbanisation va dissolver l'urbain ds la panification rationnel et ds l'habitation. Cette question va devenir un enjeu sal pour l'Etat : comment loger cette main d'oeuvre. Comment rationnaliser l'habitat. Mobilier urbain : chaque objet, chaque maison est pensé, a une fct, pas du hasard . (Bancs spécifiques pour que les SDF ne dorment pas . ) Ce fctionnalisme va créer un mode de vie aliéné, déshumanisé. Par ex, on crée des grd ensembles : habitats fctnnel : des banlieues, des new espaces d'habitation qui vont être pensé en fct de l'espace. [...]
[...] Celui qui a théorie l'écologie du sal. Se qui fait entrer en mvmt : instinct grégaire. L'ind ne peut pas vivre seul. Il va vouloir avoir une interaction. Dès qu'il va sur un new territoire il cherche à interagir. C'est le fondement du phénomène urbain. Recherche de communautés. Cette recherche est continu : processus dynamique. Il choisi une communauté dans laquelle il se sent à l'aise . La ville est un état d'esprit : constitué par régions morales. = territoires qui sont caractérisés par des valeurs, pratiques spécifiques . [...]
[...] - Violence gratuite. Plaisir, la rage de détruire quelque chose qui se traduit par cette violence anomique. Loïc Wacquant # Didier Lapeyronnie Wacquant pense que l'étude des ghettos va doublement stigmatiser la population et que c'est une manière de dominer d'avantage les gens qui vivent dans cet espace. Au contraire, Lapeyronie considère que c'est un lieu d'analyse intéressant. Qu'est ce qu'un ghetto ? Pour Clark, c'est une organisation sociale qui se territorialise. Lapeyronnie va s'inspirer de l'anthropologie américaine pour étudier les quartiers français. [...]
[...] Cette sociologie présente chez ces auteurs a 3 points : - Porter pragmatique (doit servir, aider à la décision pour les politiques) - On est dans la seconde modernité (sté post-industrielle) : fin des grd grp sociaux = fin des classes sal, pour Alain Touraine. La sté n'est plus qualifié par les pb entre bourgeois et ouvriers. Les classes sal ne servent plus alors à analyser la sté. Il y a pourtant une multiplicité de mvmt sociaux, mais sans avoir de conflit de classe. Par exemple le nucléaire : nouveau mouvement, mais pas de conflit de classe. Ils ne défendent pas d'intérêt de classe . - Socio centré sur l'action sal, l'ind. Ind est le point de départ de l'analyse. [...]
[...] La violence est un réel facteur organisationnel de la vie sociale. Le ghetto est un mode d'organisation à l'intérieur d'un quartier. Wacquant pense qu'il y a une instrumentalisation de la notion de ghetto. Pour lui, certains journalistes et sociologues utilisent le ghetto comme cadre d'analyse, mais c'est une erreur. On ne peut pas utiliser ce terme pour comprendre la réalité des banlieues françaises. Pour lui, il n'y a que deux ghettos qui ont existé : Le ghetto juif de Venise au Moyen-Âge et le ghetto noir de Chicago dans les années 20. [...]
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