Sociologie du travail, Sociologie des organisations, Lucie Tanguy, Institut des Sciences Sociales du Travail, Michel Crozier, Durkheim, Pierre Rolle, Philippe Corcuff, Bourdieu, Marshall Sahlins, tripalium, Taylorisme, Hawthorne
La sociologie du travail et des organisations a un même objet global qui est l'activité de l'Homme à l'intérieur d'une entité, qu'elle soit privée, publique organisée, hiérarchisée très souvent et enfin elle tend vers un objectif spécifique qui est communément accepté. Même si l'on a d'autres objectifs, on a un objectif commun, partagé par des individus. Par exemple, le fonctionnaire à une mission, à un objectif : prise en charge des bénéficiaires de la CMU.
Cela dit, il y a une différence fondamentale dans l'approche d'aborder cette question et qui conduit à cette division : la sociologie du travail et la sociologie des organisations.
[...] Conclusion On peut dire qu'aujourd'hui on a la fin de la fin du travail. Le travail reste fondamental dans la société contemporaine et on a un débat qui s'est orienté vers la notion de flexi sécurité. On a également un brouillage des repères des catégories socioprofessionnelles. On pourrait aussi ouvrir le débat sur la place du travail pour ceux qui en sont dépourvus. On peut d'ailleurs faire référence à un mouvement considéré comme miraculeux : la manifestation des chômeurs dans l'hiver 1997-98. [...]
[...] Par conséquent, en 1936, on a 5 000 conventions signées. On a la construction progressive de corps de métiers. La période la SGM va poursuivre cette méthode en instaurant des comités d'organisation chargés d'établir des programmes de production, de recenser la main d'œuvre, d'établir une véritable classification des métiers. C'est au lendemain de la guerre que sont développées les « classifications Parodi » qui vont entériner ces classifications dans un cadre national et non plus local, régional. Elles vont décrire ce en quoi consiste une profession. [...]
[...] La norme de travail est forcément liée à l'interprétation que l'on a de la fatigue. Selon lui, il y a un premier paradoxe : ceux qui se disent fatigués sont plutôt ceux qui sont épargnés par les contraintes objectives du travail (physique, bruit, temps). Il va montrer qu'il existe une logique sociale sur la fatigue entre une bonne et une mauvaise fatigue : la bonne fatigue est celle qui peut être surmontée par un repos et qui est le résultat d'une activité plutôt naturelle, saine, librement choisie et qui fait référence à l'ordre des choses (fatigue sportive). [...]
[...] On a un système qui tournait en creux pendant 4 ans. Au final, on montre que les directeurs d'agence maîtrisaient cette information et qui a conduit à isoler le directeur commercial ainsi que certains cadres commerciaux. Le cadre commercial qui avait voulu instaurer ce système a été contacté par l'ancien directeur pour installer un système économique de rationalisation économique Prolongements et critiques de l'analyse stratégique Lors du récent décès de Crozier, son coauteur a rappelé dans un article combien il avait bouleversé la réflexion sur la sociologie et qui a synthétisé les 3 courants qui existaient aux EU (cognitiviste, fonctionnaliste, politique). [...]
[...] Aujourd'hui, on a une palette d'analyses beaucoup plus large ce qui permet de donner plus de détails, de précisions. Chapitre 7 La sociologie des organisations : quelques approches contemporaines Introduction L'approche de la SO s'est étoffée aux 10 dernières années et a expliqué le fonctionnement des entreprises, mais surtout des administrations. On peut essayer de réfléchir autour des transformations qu'a connues l'environnement économique depuis une trentaine d'années que l'on peut caractériser comme étant l'ouverture de l'entreprise. Des organisations se sont ouvertes alors que Crozier pensait à élaborer sa théorie à partir d'un système d'action concrète à l'intérieur même d'une organisation. [...]
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