Pour être une science, la sociologie doit avoir un objet d'étude différent des autres disciplines et mettre en oeuvre une méthode de recherche spécifique à la sociologie. L'objet d'étude pour Durkheim est le fait social. Il renvoie aux manières d'agir et de penser mais qui s'imposent de l'extérieur aux individus. Le fait social présente 2 caractéristiques principales :
L'extériorité : Durkheim nous dit que c parce que la société pré-existe à l'individu. Cette société impose ses règles et continue à exister après notre mort. Durkheim parle de cette société toute faite, il parle d'accumulation de culture, d'institutions... tous les éléments qui existent avant nous et qui nous prouvent que la société joue sur nous (...)
[...] Durkheim est dans une époque de transition, de transformation des sociétés. Il s'interroge sur une société en crise, qui s'est éloignée des traditions et religions. Comment trouver une conscience collective ? C'est la que Durkheim montre la faiblesse de la modernité. Dans la société moderne ou la religion relève de la liberté de chacun, comment amener les individus à une conscience collective ? Intervient ici la loi positive et juridique qui doit permettre de réunir les individus autour de même règles. [...]
[...] L'objet d'étude pour Durkheim est le fait social. Il renvoie aux manières d'agir et de penser mais qui s'imposent de l'extérieur aux individus. Le fait social présente 2 caractéristiques principales : L'extériorité : Durkheim nous dit que c parce que la société pré- existe à l'individu. Cette société impose ses règles et continue à exister après notre mort. Durkheim parle de cette société toute faite, il parle d'accumulation de culture, d'institutions tous les éléments qui existent avant nous et qui nous prouvent que la société joue sur nous. [...]
[...] Si on regarde la société moderne, on remarque un dégonflement du pôle B. Ceux qui portent la société sont les pôles A et C. Grace à la constitution du pôle l'individu dans la société moderne s'est dégagée du groupe, il a gagné en autonomie. Mais en même temps, cet individu se trouve seul face à l'Etat il reste donc le droit et la loi. Cette situation a un avantage : chacun construit sa propre personnalité, comment il veut vivre à condition de respecter les règles. [...]
[...] Si chacun à sa spécialité, chacun à besoin de l'autre donc la division du travail est un déterminant social important de cohésion et de solidarité. Durkheim va comparer 2 types de solidarités : Les sociétés tribales : ce sont les solidarités mécaniques, une division sexuelle des taches. Cela veut dire que dans les sociétés, un individu est l'égal de l'autre, ils sont interchangeables au sein de la production. C une fusion de groupe, une similitude, ils ont une conscience collective. Les sociétés modernes : ce sont les solidarités organiques. La solidarité résulte non plus de la ressemblance mais de la différence. [...]
[...] La société façonne l'individu et inversement. Il y a une influence réciproque qui amène Norbert Elias a postulé que l'humanité n'a pas de finalité, rien n'est établit a l'avance. Malgré tout, pour lui, la société moderne est une sorte de victoire de l'individu sur lui même qui tente tant bien que mal d'affirmer sa liberté. Norbert Elias montre que cette notion d'auto-contrainte est importante. Il croit aussi en la régression avec un retour aux pulsions. Il y a une sorte de volonté de s'auto-détruire. [...]
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