Tout sur la sociologie envers les entreprises en 21 pages
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Résumé du document
La sociologie est née du déclin des institutions traditionnelles au premier rang desquelles on trouve le système politique, les liens de parenté, la religion et la communauté locale. C'est ainsi que de nouvelles conceptions de la société se font jour, sur ce fond de tensions entre pouvoir politique et mouvement contestataire. Ces changements politiques rapides et contradictoires n'ont pas manqué de générer des idéologies, étirées entre esprit révolutionnaire, volonté de réforme et conservatisme, ce qui explique la sensibilité au socialisme chez les précurseurs et fondateurs de la sociologie. Par quelles institutions peut-on désormais remplacer les institutions traditionnelles ? Il y a deux institutions qui vont perdre leur influence :
La famille Elle perd de l'importance parce que les individus vivent et travaillent en dehors du milieu familial. Quand la famille s'affaiblit, cela conduit à des catastrophes telles que le suicide.
La religion Elle perd aussi de son importance, la religion est elle aussi un facteur de cohésion social.
Sommaire
Introduction 3 1. Une science née des révolutions politiques et industrielle et du souci de « quantifier » le social. 3 2. La nécessité de l'objectivation scientifique : 3 3. Emile Durkheim (1858-1917) et l'analyse des faits sociaux : la sociologie comme application du rationalisme scientifique. 3 I/ G.H Mead (1863-1931), une approche de la société comme système de communication interindividuelle et signifiante : la socialisation revisitée 5 II/ La sociologie américaine au 20ème siècle 6 1/ L'oeuvre de Talcott Parsons (1902-1979) : 6 2/ L'analyse fonctionnelle en sociologie : Robert K.Merton (1910-2003) et le principe d'une théorisation intermédiaire. 6 III/ L'interactionnisme symbolique : Erving Goffman (1922-1982) et Howard Becher. 7 IV/ La sociologie française contemporaine / américaine 7 1/ Pierre Bourdieu (1930-2002) et le structuralisme génétique 7 2/ L'individu rationnel et les stratégies des acteurs : de l'individualisme méthodologique (Raymond BOUDON) 8 V/ Aux origines de la sociologie des organisations 8 1/ Qu'est ce qu'une organisation et comment l'appréhender ? 8 2/ Un bref aperçu de l'évolution historique de l'organisation industrielle. 9 Le 19ème siècle et l'entrepreneur bourgeois 9 3/ L'organisation, entre taylorisme et relations humaines 9 3.1 Taylor et l'OST 9 3.2 Les implications théoriques du taylorisme et leur critique 10 3.3 L'école des relations humaines (ERH) 10 3.3.1 Le déroulement des recherches : 11 3.3.2 L'existence de normes informelles de production 11 3.3.3 Critique de l'ERH 11 3.3.4. Les salariés, entre ambiance au travail et quête de responsabilité. 11 4/ Mc Gregor et la théorie X et Y 12 4.1/ La Théorie X et Y 12 4.2. HERZBERG. 12 5/ La Restructuration du travail : l'élargissement ou l'enrichissement des tâches ? Vers un management participatif. 12 5.1 L'elargissement des tâches 13 5.2 L'enrichissement des tâches et la DPO 13 6- Le groupe semi-autonome : 13 7. Le cercle de qualité : 14 9. Une approche critique des organisations : l'analyse institutionnelle en France. 16 10. L'approche organisationnelle 16 PARTIE II. L'organisation et le pouvoir. 17 1. Problème de la communication organisationnelle. 17 2.Organisation et coopération : analyse stratégique et analyse systémique. 18 3. Les failles organisationnelles comme source de pouvoir : 18 4. L'accès au pouvoir 20 Les obstacles à la participation : 20 La participation : élargissement du pouvoir et de la contestation 21 5. L'homme au travail : manager ou bureaucrate ? 21 6. L'influence de la culture sur le comportement au travail. 21
Introduction 3 1. Une science née des révolutions politiques et industrielle et du souci de « quantifier » le social. 3 2. La nécessité de l'objectivation scientifique : 3 3. Emile Durkheim (1858-1917) et l'analyse des faits sociaux : la sociologie comme application du rationalisme scientifique. 3 I/ G.H Mead (1863-1931), une approche de la société comme système de communication interindividuelle et signifiante : la socialisation revisitée 5 II/ La sociologie américaine au 20ème siècle 6 1/ L'oeuvre de Talcott Parsons (1902-1979) : 6 2/ L'analyse fonctionnelle en sociologie : Robert K.Merton (1910-2003) et le principe d'une théorisation intermédiaire. 6 III/ L'interactionnisme symbolique : Erving Goffman (1922-1982) et Howard Becher. 7 IV/ La sociologie française contemporaine / américaine 7 1/ Pierre Bourdieu (1930-2002) et le structuralisme génétique 7 2/ L'individu rationnel et les stratégies des acteurs : de l'individualisme méthodologique (Raymond BOUDON) 8 V/ Aux origines de la sociologie des organisations 8 1/ Qu'est ce qu'une organisation et comment l'appréhender ? 8 2/ Un bref aperçu de l'évolution historique de l'organisation industrielle. 9 Le 19ème siècle et l'entrepreneur bourgeois 9 3/ L'organisation, entre taylorisme et relations humaines 9 3.1 Taylor et l'OST 9 3.2 Les implications théoriques du taylorisme et leur critique 10 3.3 L'école des relations humaines (ERH) 10 3.3.1 Le déroulement des recherches : 11 3.3.2 L'existence de normes informelles de production 11 3.3.3 Critique de l'ERH 11 3.3.4. Les salariés, entre ambiance au travail et quête de responsabilité. 11 4/ Mc Gregor et la théorie X et Y 12 4.1/ La Théorie X et Y 12 4.2. HERZBERG. 12 5/ La Restructuration du travail : l'élargissement ou l'enrichissement des tâches ? Vers un management participatif. 12 5.1 L'elargissement des tâches 13 5.2 L'enrichissement des tâches et la DPO 13 6- Le groupe semi-autonome : 13 7. Le cercle de qualité : 14 9. Une approche critique des organisations : l'analyse institutionnelle en France. 16 10. L'approche organisationnelle 16 PARTIE II. L'organisation et le pouvoir. 17 1. Problème de la communication organisationnelle. 17 2.Organisation et coopération : analyse stratégique et analyse systémique. 18 3. Les failles organisationnelles comme source de pouvoir : 18 4. L'accès au pouvoir 20 Les obstacles à la participation : 20 La participation : élargissement du pouvoir et de la contestation 21 5. L'homme au travail : manager ou bureaucrate ? 21 6. L'influence de la culture sur le comportement au travail. 21
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Extraits
[...] professionnel nécessite de se regrouper et de ne pas rester isolé. Se regrouper implique à son tour un travail d'organisation, que chaque individu y trouve sa place et son rôle, qu'il y ait une communication efficace. Le réseau de communication devient plus important comme le montre le calcul suivant : Nombre de canaux de communication : n étant le nombre de sujets individus qui communiquent, cela donne : 0.5 x = individus qui communiquent, cela donne : 0.5 (50 x 49) = 1225 Il faut donc concevoir une structure qui restreint les canaux de communication de manière à n'en conserver que les plus efficaces. [...]
[...] C'est donc bien une socialisation à une culture de la resp qui explique la quête de valorisants et non la nature humaine. Si l'enrichissement des tâches peut être le bienvenu en début de carrière, il est moins efficace à mesure que l'on prend de l'âge puisque les questions de salaire et de conditions de travail deviennent primordiales. On établit des objectifs individuels regroupés en 2 catégories : les objectifs de routine (le minimum à atteindre) et les objectifs de progrès. La DPO est intéressante mais elle est critiquable. [...]
[...] Il prévoit l'avènement des organisateurs, des personnes qui dirigent la production et qui exercent le vrai pouvoir car elles deviennent irremplaçables. Il s'agit plus particulièrement des cadres qui se définissent par leurs compétences techniques : ils incarnent la technostructure selon J.GALBRAITH. Le travail est il une activité sociale épanouissante Le problème des organisations est de tenter d'intégrer les nouveaux entrants sur le marché du travail et d'assurer une continuité organisationnelle entre les générations. L'origine sociale, comme le niveau d'instruction, des salariés influe aussi sur leur rapport au travail et à l'organisation. [...]
[...] La parole des salariés exprime l'aliénation et leur volonté de changement. On va alors s'attacher à analyser l'aspect manifeste de l'entreprise, comment celle-ci s'est construite historiquement, comment elle a été légitimée à travers l'édiction de règles, de normes, etc. Par la suite, l'intervention de type socianalyse avec pour principe que l'analyse ne sera pa conduite par l'intervenant ou le consultant mais par l'analyseur : l'analyseur est tout problème ou conflit susceptible d'éclairer sur le dysfonctionnement d'une organisation, et n'importe quel acteur de l'entreprise (groupe, individu, situation, évènement, scandale ) est capable de devenir à son tour l'analyseur de ce qui est caché Il existe alors 2 types d'analyseurs : les analyseurs naturels (une crise dans l'organisation ou dans la société) et les analyseurs construits (évènements ou situation crées artificiellement par les intervenants ou consultants afin de faire émerger des non-dits, les intérêts corporatistes cachés ) L'approche institutionnelle est fondamentalement orientée vers le dévoilement des intérêts et des enjeux de l'entreprise jusqu'à par exemple décortiquer les raisons qui poussent les dirigeants à faire appel à des intervenants. [...]
[...] Le travail devient une valeur pour le protestant et devient le capitalisme. Lien entre protestantisme et rationalité. Séparation entre le lieu de travail et le lieu de résidence créé une rationalité économique. Rationalité et bureaucratie (Weber) : Le dvmt de la bureaucratie constitue une clé de lecture pertinente pour saisir l'organisation des sociétés modernes. Ces sociétés st de plus en plus organisées économiquement selon une rationalité comptable gouvernée par des entrepreneurs capitalistes. Hypothèse de Weber : le modèle de l'entreprise capitaliste se généralise à d'autres sphères de la vie sociale. [...]