Par exemple l'université, l'école, l'armée, une association, un syndicat, un club de sport, un groupe de musicien…Pour ces entité il y a un caractère qui est recuis comme un caractère durable, manifester une existence. Ce caractère signifie qu'il y a une certaine distribution des tâches pour ne pas dire organisations et au minimum des règles de fonctionnement.
[...] Le terme organisation est intervenu lors de la révolution industrielle. D'ailleurs le 19ème siècle pour la deuxième moitié a été appelé le siècle des organisateurs pour cette raison. Avant d'utiliser le terme organisation on avait habitude de se service du terme institution. Des institutions de différentes formes qui structurent des activités qui ont une finalité. C'est ainsi que l'on parle d'instituer l'état, d'instituer la manufacture, la justice, l'école. Mais on parle aussi d'instituer la famille. Instituer c'est une structure qui a une dimension plus lourde, car cela renvoie à l'état, à la morale, à la religion comme on parlait au 19ème siècle. [...]
[...] Il va parler : -d'une division du travail standardisé - Une autorité qui est associé à une responsabilité - La hiérarchie - La centralisation - L'unité du commandement L'économie marchande qui n'est pas réductible à l'économie privée car dans l'éco marchande il y a aussi des éléments privées et inversement. Il y a aussi l'économie non marchande comme les associations qui ne vendent pas nécessairement leurs produits et services (par exemple : associations qui s'occupe d'intégration etc . Il y a le soutien de l'état pour les associations qui est pourtant un service privée. [...]
[...] Compétence de management. Avoir des relations à l'accueil pour introduire de la réflexivité, c'est introduire des informations nouvelles dans quelque chose qui est du changement. Une question sur le changement trouve sa réponse dans la reconnaissance des compétences qu'on acquiert par l'expérience de l'accueil. Les questions de pouvoir nous dirigent vers la manière d'appréhender les ressources des personnes. La réflexivité est une manière d'accéder aux connaissances par son expérience, entretient la capacité d'éveille et de curiosité. La tendance à vouloir rationaliser (que tout ait une fonction) existe aussi dans les organisations, dans le contrôle et dans le changement. [...]
[...] Pour conclure : chez CROZIER les hommes n'acceptent jamais d'être traité comme des moyens au service des buts ceci veut dire que les buts (les buts que fixent les organisateurs à l'organisation) dans l'organisation il y a une pluralité de rationalité, de cohérence dans l'action, peuvent concerner des intérêts d'acteurs qui apparaissent lorsqu'on étudie le fonctionnement. Ce fonctionnement va appeler le système d'action concret, là on est sur la capacité de comprendre et l'observation. On va voir la liberté relative des acteurs et ceci va passer par des relations qui sont plus ou moins de conflits ou de coopérations. Le système d'action concret c'est la manière dont les relations dans l'organisation vont permettre à celle-ci de produire des résultats. [...]
[...] Le sens d'une règle se construit dans son application. Les règles servent à canaliser les comportements, réduire les comportements opportunistes. La règle est inséparable du contexte de l'action. Elle doit permettre de stabiliser l'univers d'action des acteurs. FRIEDBERG Le pouvoir de la règle : la règle fonctionne comme un garant d'une certitude minimale sur le comportement des autres. (Clé USB) Chapitre 5 : Changement dans les organisations Les résistances au changement Changement comme adaptation contingente MINTZBERG Changement comme apprentissage Ex le coût de l'excellence Vincent De GAULEJAC Pour CROZIER l'aptitude au changement est une nécessité absolue dans toutes organisations, c'est une absolue nécessité car ces organisations ne sont jamais tout à fait stables. [...]
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