- Au 16e Siècle ( Renaissance en Europe ) la découverte des nouveaux mondes permet de faire rencontrer aux européens de nouvelles peuplades, de nouveaux modes de vie particuliers, comme par exemple « les sauvages » qui ne possèdent pas d'habitat rudimentaires (pas de ville, pas d'habitat) Ils sont très proches de l'habitat animal.
- Au 18e Siècle, (Siècle des Lumières) des philosophes écrivent des théories, ils ont pensé à faire des écrits et des observations sur nos modes de vie. De là, va naître les sciences humaines et sociales.
- Au 19e Siècle (Révolution industrielle en Grande-Bretagne) Siècle de l'urbanisation, de l'industrialisation, des colonisations.
Nous pouvons nous poser deux questions : Est-ce la destruction des peuples colonisés ? ou le réaménagement et la prise en compte des habitats des autres peuples ?
De là va naître les sciences positives, et les sciences sociologiques - anthropologique - psychologique et ethnologique.
- Au 20e Siècle (Guerres mondiales) L'idée de progrès est cassé. C'est le siècle de l'information et de la diffusion des savoirs, des connaissances et de la diversification des modèles.
Exemple : sociologue/anthropologue ; architecte/urbaniste...
C'est la naissance de la pluridisciplinarité.
[...]
Le cocooning, burrowing, nesting sont des termes inventés pour désigner l'habiter douillet.
Le repli domestique : c'est le confort individualiste. On peut faire un lien entre habiter et abriter, c'est-à-dire se protéger des autres, de la rue, tourner le dos à la morosité.
En anglais des termes se distinguent nettement : HOUSE = l'habitat
HOME = le chez soi
Le travail de l'architecte et de réunir et de réconcilier les deux pôles « habiter » et « habitat ».
Aujourd'hui la question de sécurité est très présente.
Ce qui caractérise l'habiter est la métaphore zoologique mais encore plus la création d'un espace ménagé pour assurer une mise à l'écart des choses extérieures (...)
[...] Le contenu : Un peu d'histoire L'essence de l'habiter L'ordre de l'espace habité Espaces et cultures Bibliographie I - Un peu d'histoire : - Au 16e Siècle ( Renaissance en Europe ) la découverte des nouveaux mondes permet de faire rencontrer aux européens de nouvelles peuplades, de nouveaux modes de vie particuliers, comme par exemple les sauvages qui ne possèdent pas d'habitat rudimentaires (pas de ville, pas d'habitat) Ils sont très proches de l'habitat animal . - Au 18e Siècle, (Siècle des Lumières) des philosophes écrivent des théories, ils ont pensé à faire des écrits et des observations sur nos modes de vie. De là, va naître les sciences humaines et sociales. - Au 19e Siècle (Révolution industrielle en Grande-Bretagne) Siècle de l'urbanisation, de l'industrialisation, des colonisations. [...]
[...] ou le réaménagement et la prise en compte des habitats des autres peuples ? De là va naître les sciences positives, et les sciences sociologiques - anthropologique - psychologique et ethnologique. - Au 20e Siècle (Guerres mondiales) L'idée de progrès est cassé. C'est le siècle de l'information et de la diffusion des savoirs, des connaissances et de la diversification des modèles. Exemple : sociologue/anthropologue ; architecte/urbaniste C'est la naissance de la pluridisciplinarité. L'anthropologie : C'est l'étude de l'homme après comparaison de peuples entre eux. [...]
[...] - la perte des traits culturels c'est la déculturation ou l'assimilation - l'échange des traits culturels c'est le métissage ou le bricolage La décultarisation Exemple en Amazonie : - Les Bororo : leurs sont villages encerclés sous forme de hiérarchie - Le Bari ou Rotilon : les Colons viennent avec l'électricité et remplacent ainsi leur semi pénombre, qui est pour eux un symbole de protection. L'adaptation C'est le contexte spécifique de la rencontre entre groupes ou individus. On préserve et on s'adapte à leur histoire, leur présent, se dont sont porteurs les sujets en présence. (besoin, présence, souhaits, capacité à négocier ) Bricolages et métissages Pour les comprendre il faut s'approcher des usages, des supports culturels, et des représentations mentales qui les supportent. [...]
[...] Bibliographie Bachelard Gaston (philosophe) La poétique de l'espace, presses universitaires de France Bonetti Michel (sociologue) Habiter : le bricolage imaginaire de l'espace, Paris, Hommes et perspectives - EPI Certeau Michel de (philosophe, historien) L'invention du quotidien, Paris, Gallimard Collignon Béatrice, Staszak Jean-François (géographes) Espaces domestiques : construire, aménager, représenter, Rosny sous bois, Bréal Dreyfus Jacques (sociologue, ingénieur ) La société du confort, Paris, L'Harmattan Filiod Jean Paul (socio-anthropologue) le désordre domestique, Essai d'anthropologie, Paris, L'Harmattan Hall Edward T (anthropologue) La dimension cachée, Paris, Seuil Heidegger Martin (philosophe) Bâtir, habiter, penser et L'homme habite en poète, in Essais et conférences, Paris, Gallimard Rapopot Amos (anthropologue-urbaniste) Pour une anthropologie de la maison, Paris, Dunod, Coll. Aspects de l'urbanisme Terrain : Habiter la maison, Paris, Mission du patrimoine ethnologique, Le ministère de la culture et de la communication n°12 : Du congélateur au déménagement. Pratiques de la consommation familiale, Paris, Mission du patrimoine ethnologique, Ministère de la communication et de la culture. [...]
[...] Pour eux l'espace personnel est le prolongement du corps. - Les anglais, eux, ils clignent des yeux pour approuver - Les français ont une sensorielle élevée - Les japonais font du centre de la pièce, le pôle positif de la maison - Les arabes accordent une grande importance à l'olfactif (ex : sentir l'haleine de l'autre est une marque de confiance) 4. La dérivée culturaliste - L'idée selon laquelle la culture s'enracine dès la très petite enfance et devient commune. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture