Sociologie de la consommation, Young, G. de Villethierry, Guillemin, Fourastié, théorie de Veblen, classe de loisir, économie, Goblot, bourgeoisie, Simmel, sociologue, sociologie, Lévi-Strauss, religion, Eden, Herbert Marcuse, Foucault, Hirschman, France, consommer, produire
A. Young est un savant anglais qui traverse la France au 18e siècle. Il la décrit comme étant sale et misérable. Il prend conscience de la question d'hygiène. La santé est médiocre, un quart des conscrits étaient jugés inaptes au service militaire pour cause d'infirmité : perte ou paralysie d'un membre, infections, surdité...
La population est majoritairement rurale. Beaucoup vont à la messe les pieds nus avec les chaussures autour du cou afin de ne pas salirent, car elles coûtent cher, et les reportent dans l'Église. Ils sont habillés de la même couleur, noir, gris, selon les colorants dont on dispose à proximité. Les habits sont transmis par héritage. Il y a une pauvreté générale, des personnes multiplient parfois leurs emplois. Quelques métiers parisiens : éleveur d'asticots qu'on revend aux pécheurs, réveilleur, massacreur de chat, accompagnateur d'ivrogne... issu de la division du travail.
[...] Critique d'Hirschman Il prend en compte la question sociale de la conjoncture économique. Il montre que les choses ne se passent pas aussi simplement que ça. Il dit que la société de consommation procure des satisfactions, mais au bout du compte, la satisfaction nous amène à une déception. Lorsque l'on achète quelque chose, on aspire à en tirer un profit matériel (voiture pour déménager, se déplacer) ou symbolique (quand j'aurai ma BMW, les filles me regarderont). Mais tout objet de consommation est porteur de déception et cette déception n'est jamais prise en compte dans les théories traditionnelles de l'économie. [...]
[...] Si le volume change, la structure change également. Le revenu disponible a progressé. Le revenu des ménages, au sens de la comptabilité nationale, couvre les revenus de la population dans leur intégralité. Il fait la somme des revenus du travail, des revenus de la propriété et des revenus de transfert de l'ensemble des ménages. Il peut être brut ou ajusté selon la prise en compte, ou non, des services collectifs individualisables et des prestations en nature. Celui des ménages représente donc la masse des revenus touchés par l'ensemble des ménages une année donnée. [...]
[...] Sociologie de la consommation : consommation et production, classes sociales, etc I. Sociohistoire de la consommation A. Young est un savant anglais qui traverse la France au 18e siècle. Il la décrit comme étant sale et misérable. Il prend conscience de la question d'hygiène. La santé est médiocre, un quart des conscrits étaient jugés inaptes au service militaire pour cause d'infirmité : perte ou paralysie d'un membre, infections, surdité La population est majoritairement rurale. Beaucoup vont à la messe les pieds nus avec les chaussures autour du cou afin de ne pas salirent, car elles coûtent cher, et les reportent dans l'Église. [...]
[...] Le coût de la vie a été multiplié par Les chiffres ont beau augmenter, le prix de la vie a baissé, car les salaires ont été multipliés par 12 et Les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres se sont réduites. L'écart séparant le décile inférieur au supérieur a réduit de Les salaires les moins élevés des des plus riches ne sont que quatre fois supérieurs aux salaires des plus pauvres. Lorsque le volume de la consommation augmente, sa structure change beaucoup. La part consacrée à l'alimentation va diminuer et ce qu'on a gagné en plus va être consacré aux loisirs, aux vêtements. [...]
[...] C'est une généralité qui conduit les individus à être une copie des autres, mais aussi à se distinguer de certains groupes. La mode d'aujourd'hui n'est pas la même que demain, sa durée de vie est courte. Les modes sont aussi des signes d'appartenance de classe qui fait que la mode marche toujours dans le même sens : du haut vers le bas. Elle sert à marquer l'appartenance de classe. On envie l'objet porté par l'autre, mais on ne veut pas ressembler à celui qui le porte. Les marques fonctionnent beaucoup par réputation, capital symbolique. [...]
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