sociologie, malaise au travail, science humaine, genre humain, sociétés
C'est une science humaine au même titre que l'histoire, la philo, psychologie.
Elle s'oppose aux sciences exactes (maths).
On ne peut pas exiger cette rigueur avec les sciences humaines.
La connaissance scientifique doit être générale et certaine.
Les êtres humains étudiés ne sont pas des choses. A l'intérieur du genre humain, il y a que des différences (sauf jumeau monozygote). Un être humain est un être pensant et parlant, conscient, dispose d'une marge de liberté permettant d'échapper au conditionnement naturel et au déterminisme.
[...] Lorsque qu'un individu est dans une foule, il perd sa liberté et son initiative. Nous suivons la foule. Nous nous soumettons au chef d'autant plus que nous avons de l'admiration pour lui. L'acte de l'auto soumission est un mécanisme ou il y a de l'amour. Car c'est seulement l'amour qui explique la soumission. Après la 2ème GM, ce problème va se poser de nouveau de manière différente. On découvre les camps d'exterminations, et surtout que des gens ordinaires ont commis des actes qui eux ne le sont pas. [...]
[...] Comment le sociologue étudie les phénomènes sociaux ? Il le fait de l'extérieur, en les observant. Il utilise des méthodes quantitatives (sondages, enquêtes), qualitatives (entretiens, études), méthodes comparatives. Les caractéristiques des faits sociaux, ils sont extérieurs à l'individu (langue), phénomène coercitif (coutumes, traditions). Le corps est indispensable à la manifestation de l'émotion, c'est un message que l'on exprime aux autres. Il ne pourrait pas avoir de message sans le corps. Le langage du corps : la gestuel auquel on est attentif. [...]
[...] Sur ce sujet, une italienne à écrit un livre : Extension du domaine de la manipulation, elle soutient que les salariés et les cadres sont les artisans de leur propre soumission. Ils sont les responsables de leur propre souffrance au travail. Ce sont des individus qui ont le culte de la performance et de l'efficacité, et donc il faut une implication forte et totale. Plus de vie privé. Cette ambiance que l'on appel une idéologie managériale, la culture de l'entreprise, on demande au cadre d'adhérer à cette culture. Pourquoi nous nous soumettons à ces idéologies, à ces valeurs et plus généralement pk nous obéissons aux autorités ? [...]
[...] Les individus se ressemble, sont capable d'accomplir des mêmes travaux, les mêmes valeurs, le même sacré (religion). - dans les complexes : il y a une société car les individus sont différents. L'unité de la société provient de la différentiation. Durkheim prend l'exemple du corps humain. Un corps humain qui fonctionne à des organes qui fonctionnent différemment. - les Hommes sont les seuls à avoir des religions, il existe des coutumes qui détermine ce qui est permis ou défendu (violence, sexualité). L'intervention des marchés, échanges. [...]
[...] Dans les pays occidentaux des femmes restes célibataires. L'âge moyen du mariage en France en 1990, les hommes à 27 ans et demie, les femmes à 25 ans et demie. En 2005, pour les H à 31 ans et pour les F à 29 ans. On se marie de plus en plus tard. Seule des mariages durent plus de 30 ans. Ce qui mine le mariage c'est l'infidélité. L'infidélité est devenue socialement acceptable mais individuellement insupportable. L'infidélité n'est plus un taboue des hommes contre des femmes confie avoir déjà trompé leurs conjoints. [...]
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