Socialisations familiales, rapports éducatifs scolaires, éducation partielle, styles éducatifs, pédagogie, disparités genrées, égalité des chances, Kellerhals et Montandon, rapport affectif, méritocratie
On fonde énormément d'espoir sur l'école pour :
- Transformer en profondeur les comportements des individus
- Transmettre les valeurs de la République française à tous les jeunes citoyens
- Développer économiquement
- Permettre l'égalité des chances en ne tenant compte que du mérite des élèves.
Mais qu'en est-il en réalité ? Quel est l'effet du système scolaire dans l'intégration des individus à la société ?
[...] Exemple : en Suède, un enfant peut porter plainte contre ses parents s'ils s'occupent mal de lui. La loi dit même que la famille est obligée de s'occuper de son fils même s'il a 18 ans (l'Etat intervient pour dire ce que la famille doit faire). II. Formes de vie familiales et styles éducatifs Mais il y a toujours la volonté d'avoir des enfants C'est très mal vu de ne pas avoir d'enfants. En 1990, seuls affirme ne pas vouloir d'enfants. [...]
[...] La socialisation de l'éducation des enfants. On fonde énormément d'espoir sur l'école : - Transformer en profondeur les comportements des individus - Transmettre les valeurs de la République française à tous les jeunes citoyens - Développer économiquement - Permettre l'égalité des chances en tenant compte que du mérite des élèves Mais qu'en est-il en réalité ? L'effet du système scolaire dans l'intégration des individus à la société ? Rôle majeur dans la socialisation ? Socialisation : ensemble des choses que l'on apprend et qui permettent d'évoluer en société. [...]
[...] L'école vaut mieux que la famille (les enfants vont plus apprendre à l'école qu'à la maison) Il y a aussi le développement des colonies de vacances, des associations qui semblent plus préférables, même sur les temps libres, à la famille L'éducation « partielle et sous contrôle » des familles Non seulement les parents laissent de plus en plus la socialisation à l'école, mais la leur régresse. Maintenant, même des instances vérifient que les enfants mangent bien, sont bien habillés, sont aimés. La famille n'est plus la base cellulaire de la socialisation. [...]
[...] On passe de plus en plus du style statutaire au style contractualiste. L'école doit s'adapter car les enfants deviennent de plus en plus jeune autonome, donc plus désobéissant L'école, partenaire obligé Suivi obligé de la scolarité de l'enfant. L'école favorise aussi une nouvelle morale familiale. L'idée est de le faire réussir dans la vie, il doit donc être bon à l'école mais aussi dans les activités extrascolaires. Aujourd'hui, on n'évalue plus son éducation envers son enfant en disant « il est bien élevé, il est marié avec une femme sympa » mais « il a de bonnes notes, il a fait une grande école ». [...]
[...] Exemple : on laisse le choix à l'enfant de venir au cinéma avec les parents, pas les mêmes activités Fusion : enfant plus fidèle, toutes les activités sont faites ensemble. « On va tous faire du vélo dimanche » « tu vas quelque part ce week end ? d'accord, emmène ton frère » Style contractualiste : forme association Style statutaire : forme bastion La façon dont la famille éduque son enfant dépend de la famille idéale qu'elle connait. Aujourd'hui, c'est de plus en plus tourné vers l'autonomie, c'est dû à l'adolescence. [...]
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