La sociologie du travail en France après la 2ème Guerre mondiale :
- G. Friedmann :
Il a une vision négative du travail.
Il va montrer les transformations que subit le travail par la mécanisation.
Il pointe la déresponsabilisation de l'ouvrier, contrôle de plus en plus important, et on démantèle les équipes de travail au profit d'une hiérarchie de plus en plus marquée.
La mécanisation croissante va polariser les qualifications.
Il veut montrer l'impact du machinisme sur les conditions de vie des ouvriers.
Ce progrès technique n'est pas toujours néfaste. Certes il fait disparaitre certains corps de métier mais il en a fait apparaitre d'autres (...)
[...] Les gens ont aussi du mal à distinguer le sociologue du travailleur social. ( Ils sont familiarisés avec les individus mais pas les principes qui décrivent la société. ( Quand on parle d'une société en tant que sociologue on est inclus dans cette société. Comme toute discipline il faut trouver un objet d'étude ( Durkheim cherche a définir le territoire de l'étude. Il étudie le fait social = phénomènes à caractéristiques sociales (de personne incluses dans la société) et qui s'impose au individu indépendamment de leur volonté. [...]
[...] Paul Selznick : Il montre comment le fonctionnement d'une organisation peut générer des effets pervers. Les effets pervers c'est au sens imprévisible. Pour lui dans une organisation il faut distinguer les structures informelles qui sont déterminante pour montrer l'environnement de l'organisation. Sociologie des organisations (Michel Crozier) : Relation de pouvoir entre les employés. Il montre qu'il y a l'apparition de règles non écrites qui finissent par s'imposer aux employés et qui finalement délimite leur champ de compétence. (On a l'apparition de règles non écrites, impersonnels, qui limites l'arbitraire mais le problème est que les moyens de communications sont rigides et ne permet pas de s'adapter aux cas particulier. [...]
[...] - Il y a deux concepts : ( Concept d'explication ( Concept de compréhension Concept d'explication : Le sociologue doit résonner comme un physicien, comme s'il vivait en dehors de sa société : Il doit observer la société avec un œil neutre. Concept de compréhension : (Théorie allemande) ( La compréhension des phénomènes sociaux est immédiate. Le chercheur doit se placer du point de vue de l'acteur pour comprendre le sens subjectif qu'il donne à son action = comprendre, interpréter, expliquer. - Est-ce que la sociologie est capable de dégager des lois universelles ? ( On oppose les sciences nomothétiques aux sciences idiographique. [...]
[...] Il peut y a voir une redirection des territoires dans les professions. Les professionnels délèguent aux personnes inférieures. (Freidson : Montrer comment les médecins ont du lutter pour assoir leur monopole d'exercice. Le problème est que lorsqu'' apparait la figure du médecin il est en concurrence avec d'autre type de personne qui sont la pour guérir Chaque groupe social essai de faire valoir leur compétences. Ce n'est donc pas la compétence des médecins qui a assis leur profession car : - Mise en place de consultation privée. [...]
[...] travers la consommation, on peut étudier les modes de vie; on retrouve la dimension symbolique de la consommation (goûts, préférences) (La société nous impose ces goûts et préférences. ( Ceux-ci dépendent de notre milieu social, la consommation retrace notre vie. Étude de la consommation: effet de diffusion des normes au sein de la société Ex: la mode (Le sociologue fait des études statistiques: âge, revenu, statut social . (Cela lui permet d'expliquer les comportements. Ceux-ci sont variables selon les sociétés. Est-ce que les comportements s'homogénéisent ou se diversifient? (Cela dépend des revenus, du lieu, du temps . Années 70-80: consommation massive. [...]
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