L'évolution du noir dans la société, de l'époque coloniale à nos jours

Résumé du document

L'Angleterre du aussi par la bouche du premier ministre (Winston Churchill) demander de l'aide aux colonies britanniques d'Afrique. Ainsi l'Afrique de l'Ouest du fournir un contingent de 150 000 soldats nommé "British West African Frontière Force". Elle comprenait des Camerounais du Cameroun Britannique qui jouèrent un très grand rôle dans la défaite Italienne en Ethiopie. Ils durent aussi combattre en Afrique du Nord, au Proche Orient et en Asie du Sud-Est. Servant surtout sous les tropiques, ils furent extrêmement efficaces à Burma et ils reçurent l'éloges tant de leur officiers britannique que de leur ennemis, les Japonais entrés en guerre en 1941.

Les Africains ont aussi fourni aux alliés européens de l'argent et nourriture. Au Cameroun et au Nigeria fut lancée l'opération "Gagnons la Guerre". Les ports et les aéroports africains servaient à la réception des renforts venus des Etats-Unis. Entre 1942 et 1943, plus de 200 avions américains utilisèrent chaque jour l'aéroport d'Accra. Etant donné que les plantations britanniques de Malaisie étaient en pleine zone d'occupation Japonaise, les Africains durent ramasser du caoutchouc sur des hévéas sauvages pour l'approvisionnement de l'armée d'Angleterre. La guerre pris fin en 1945, et les Noirs rentrèrent chez eux (...)

Extraits

[...] Le saxophone est alors l'instrument roi de ce genre musical, qui est aussi marqué par les chanteurs à la voix puissante : les blues shouter. Egalement appelé jump music, le rhythm & blues préfigure le rock roll, dont il contient déjà tous les éléments. Le terme de rhythm and blues passe de mode dans les années 1960 parmi son public original afro-américain, pour être remplacé par la soul music, la Motown et James Brown; mais le genre sera une des influences majeures de nombreux jeunes musiciens britanniques qui formeront les groupes qui renouvèleront le rock, des Rolling Stones aux Who. [...]

[...] Avec l'aide des médias, la WTA a cherché à me faire passer pour un fou, un mégalomane, un J'incarne la tragédie des Noirs en opportuniste ou que sais je encore. Mais je même temps que leur revanche. ne suis ni fou, ni mégalo, pas plus Et c'est ça qui dérange qu'opportuniste. Je dis ce que je vis, ce que j'ai vécu, je dis ma vérité. J'incarne la tragédie des Noirs en même Richard Williams temps que leur revanche. Et c'est ça qui dérange. "J'ai demandé à la WTA : y a t-il des préjugés raciaux chez vous Ils m'ont dit non. Ils me prennent pour un imbécile. [...]

[...] CONCLUSION Avant tout la négritude est une forme d'humanisme né du sentiment d'un monde brimé écrasé par les colonisateurs blancs. Ce sentiment s'accompagne d'une conscience politique de gauche, même si la négritude est moins au départ revendication politique que revendication d'une reconnaissance culturelle. Cette revendication se reconnaîtra dans la pensée d'un ethnologue allemand Frobenius, qui fournira une sorte de théorisation des sensations des poètes que sont Césaire, Senghor et Damas parmi les principaux. Dès lors, les poètes "noirs" considèrent qu'ils peuvent revendiquer l'appartenance à une civilisation qui n'est en rien inférieure à la civilisation occidentale ou blanche. [...]

[...] Enfant, je croyais que c'était mal d'être noir. Le tennis n'a pas changé ma vie. J'étais riche bien avant que mes filles connaissent le succès. C'est le critère racial qui a fait croire que j'étais pauvre avant que le tennis ne fasse de moi un homme riche. "Comment ? Ce nègre savait faire de l'argent avant que le talent de ses filles ne le sauve du ruisseau. Pas possible Et pourtant . Il y a bien longtemps que j'ai transcendé la condition à laquelle ma couleur de peau et mon lieu de naissance me destinaient. [...]

[...] Toutes les chaînes, de l'esclavage, de la domination coloniale et de la discrimination. Toujours en 1998, justement, les discriminations sont reconnues comme un danger majeur pour la cohésion sociale. En 2001, l'adoption de la loi relative à la lutte contre les discriminations entraîne la création de dispositifs institutionnels comme le Geld, le 114 et les Codac. En 2002, cette lutte est même consacrée grande cause nationale En décembre 2004, la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité voit le jour (voir Label France 57). [...]