Péri-urbain, classes moyennes, zones pavillonnaires, rural, croissance urbaine, étalement urbain
Le péri-urbain c'est la frontière entre le rural et l'urbain.
C'est le territoire des classes moyennes avec les zones pavillonnaires.
Ce territoire du péri-urbain caractérise la ville contemporaine c'est-à-dire la ville qui se déploie
depuis les années 70 sur un territoire assez lâche, dont on a du mal à dessiner les frontières. Il n'y a
pas de rupture nette entre le rural et l'urbain.
Le tissu est composite, pas seulement résidentiel. Il a pris plusieurs noms : rurbain, naturbain,
suburbain, et finalement est apparu la terminologie de péri-urbain.
Ce sont des territoires poreux.
[...] La mosaïque urbaine le péri-urbain et les classes moyennes Le péri-urbain c'est la frontière entre le rural et l'urbain. C'est le territoire des classes moyennes avec les zones pavillonnaires. Ce territoire du péri-urbain caractérise la ville contemporaine c'est-à-dire la ville qui se déploie depuis les années 70 sur un territoire assez lâche, dont on a du mal à dessiner les frontières. Il n'y a pas de rupture nette entre le rural et l'urbain. Le tissu est composite, pas seulement résidentiel. [...]
[...] Critique de l'étalement urbain pas d'utilisation économe des ressources. Ces territoires se développent, se structurent, s'équipent, développent leurs propres qualités urbaines, naturelles. Ils ont de moins en moins besoin des ressources de la ville-centre, d'autant plus s'ils ont intégrer des bourgs anciens, des petites villes. Ils développent sa propre centralité, sa propre attractivité. Il est de moins en moins un territoire périphérique. Il a acquis un véritable poids démographique, de la consistance. Aujourd'hui il constitue un territoire à part entière capable de développer ses propres stratégies indépendamment de la ville centre et parfois même contre la ville centre. [...]
[...] Les couronnes péri-urbaines, les nappes pavillonnaires intègrent des bourgs ruraux. Elles vont aussi intégrer des équipements, des services, des activités économiques, des zones industrielles. On a dans un premier temps des constructions de quartiers résidentiels. Ces territoires sont vraiment considérés comme des espaces adjacents à la ville mais leur avantage c'est de permettre d'accéder à un type d'habitat qui correspond plus aux attentes des propriétaires. Ils sont sous contrôle de la ville centre qui conserve les services, les offres d'emploi Il y a eu sur certain territoire un bouleversement d'équilibre, notamment pour les bourgs ruraux englobés pour lesquels il n'y a pas eu d'accompagnement de services, etc . [...]
[...] II Le péri-urbain, un territoire pour les classes moyennes Particulièrement associé aux classes moyennes, il a pour fonction première d'accueillir les classes moyennes qui ont voulu bénéficier d'un territoire lâche. On ne trouve pas de très riche ni de très pauvre. On a un contexte assez homogène d'un point de vue démographique. Les familles appartiennent aux couches intermédiaires, à des ménages en activité, aux familles. Est-ce un choix pour ces classes moyennes ? Ce serait plus une contrainte, mais ça peut être aussi un vrai choix. Environnement plus calme, plus naturel, plus proche de la nature. Refus de la vie dans la ville dense. [...]
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