Salaire médian, beaux quartiers, l'entre-soi des plus riches, classe populaire, classe aisée, aristocrates, grande bourgeoisie, Agrégation, clubs, Pinson-Charlot
En général quand on parle de revenus on pense salaires.
En terme de salaires, 90% des salariés ont un salaire net inférieur à 3404 euros.
10% des salariés touchent plus que 3404 euros.
La moitié des salariés touchent moins de 1738 euros net. Ce niveau c'est le salaire médian.
Pour mesurer le niveau de vie réelle il faut compter l'ensemble des revenus et enlever ce que l'on
verse aux impôts.
En terme de revenus, donc le niveau de vie moyen, 50% a un niveau de vie mensuel inférieur à
1583 euros.
5% a un niveau de vie mensuel inférieur à 715 euros.
Par contre 5% ont un niveau de vie mensuel à 3726 euros.
[...] En terme d'évolution entre 2004 et 2010, les 10% les plus fortunés ont vu leur patrimoine augmenté de euros (dû à l'augmentation du foncier) tandis que les 10% les moins fortunés ont gagné 114 euros. Plus on monte vers les plus riches, plus les revenus liés au patrimoine augmentent. II Les beaux quartiers Couple de chercheurs Michel Pinson et Monique Pinson-Charlot. Se sont intéressés à ce groupe social qui intéresse peu les sociologues, les plus aisés, les aristocrates et la grande bourgeoisie. Territoire d'élection de ces groupes sociaux Ghetto de riches permet de mettre à distance les plus pauvres. Territorialisation des espaces sociaux. [...]
[...] La mosaïque urbaine Les beaux-quartiers, l'entre-soi des plus riches I Qui sont les riches ? En général quand on parle de revenus on pense salaires. En terme de salaires des salariés ont un salaire net inférieur à 3404 euros des salariés touchent plus que 3404 euros. La moitié des salariés touchent moins de 1738 euros net. Ce niveau c'est le salaire médian. Pour mesurer le niveau de vie réelle il faut compter l'ensemble des revenus et enlever ce que l'on verse aux impôts. [...]
[...] Selon les Pinson-Charlot, le seul groupe social qui a une conscience sociale, ce sont les plus riches. Ils font tout pour perpétuer ce groupe social assumer de s'opposer à la mixité sociale, assumer de vivre entre-soi. L'opposition se fait par notamment la volonté de ne pas voir de logements sociaux sur leurs territoires. Avec ces 10% les plus riches on est bien dans un processus de territorialisation extrême des sociabilités puisque choisir le territoire où l'on va vivre c'est s'assurer tout risque de rencontre avec des gens différents de nous. [...]
[...] Des membres d'un groupe social constitue un réseau qui leur donne un certain nombre d'avantage. Le club contribue à nourrir ce capital social. On appartient à un club par invitation pour s'assurer des gens du même réseau. Selon le degré de fermeture, il y a certains critères pour appartenir à un club. Les membres qui cumulent tous ces critères vivent sur un territoire très restreint autour de l'axe du pouvoir. Ils développent sur ce territoire une conscience sociale et un entre-soi. [...]
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