Méthodologies des sciences sociales

Thèmes abordés

Méthodologies, sciences sociales, sciences de l'homme, variables, opérationnalisation, méthodologie de l'enquête

Résumé du document

e doute : c'est plutôt une forme d'absence au préjugé par rapport au phénomène. Mais pour la science, il ne faut pas de préjugé : par exemple sur la forme de la terre, sur la fièvre, sur la nature de la machine.
->il faut accepter le fait de ne pas savoir.
Parce que si on a des préjugés c'est qu'on croit à la magie. (Ce n'est pas vraiment une critique de la religion, mais elle doit rester or du champ scientifique. La religion c'est quelque chose de particulier, elle est pour soi, mais elle n'a rien à voir avec la science)

Rationalité : il y a une exigence de cohérence dans ces trois histoires. Il y a des raisonnements qui se développent sur la base d'une certaine logique. Il y a une certaine façon de raisonner.

Le rapport au réel : à chaque fois se pose un certain problème : c'est le problème de la réalité. Il est possible de réussir quelque chose, mais sans avoir la réalité.
Il faut être délicat face au rapport au réel.

Extraits

[...] La méthode argumentative : on la retrouve un peu dans les deux autres méthodes. C'est le fait d'utiliser la méthode pour essayer de convaincre. La preuve c'est ce qui nous convint Einstein. Cours 2 : Chapitre 2 : Opérationnalisation. L'opérationnalisation c'est un processus allant du théorique à l'empirique, et visant à rendre opérationnels, c'est-à-dire testables (et donc partiellement observables), les énoncés théoriques. Il y a des gens qui critique la théorique que c'est abstrait. Or tout est théorique, dès qu'on essaye de généraliser on est entrain de théoriser. [...]

[...] B]3)4 la méthode expérimentale. Définition : à partir de la comparaison de situations qui varient systématiquement selon un ou plusieurs critères à l'étude (hypothèse), on procède à des analyses quantitatives/ qualitatives et à des interprétations. Il y a un principe important, celui de la comparaison, et donc des comparaisons de deux cas. On parle parfois de méthode comparative. Et on a toujours dans ces méthodes les problèmes de la variables contrôlée et pour qu'une comparaison soit valide il faut que toutes choses égales par ailleurs (se référer à l'exemple). [...]

[...] Donc la formule du plan d'expérience : c'est une formule qui va rendre compte des variables indépendantes, va rendre compte de la nature de ces variables indépendantes, et qui va nous dire combien de sujet par condition expérimentale. On va condenser ca dans une formule. Voir le tableau dans les diapos. Cours 5 : 1. Zoom sur le plan 2x2. voir tableau. Ce plan, condense toutes les difficultés, car il y a les effets d'interaction. Et donc, ca nous explique ce que c'est qu'un effet d'interaction. Effet d'interaction, est indépendant des deux autres effets. Par conséquent, on a trois passibilités d'effet d'interaction qui sont indépendant. [...]

[...] On va donc faire le choix des sujets sur le terrain. Dans les méthodes précédentes le choix se fait avant, mais là on ne sait pas quels individus interrogé. Cependant, on a des règles à suivre : o La méthode de quota : consiste à construire un modèle réduit de la population à partir d'information statistique. On n'a pas de base de sondage mais on a quand même des informations sur la population. Les individus ne sont pas désignés au préalable. [...]

[...] Il interprète les réponses, voir même les souffle à l'enquêté. Biais imputables à l'enquêté : Défaut de compréhension du au traitement du signal : il a mal entendu une partie de la question, où en interprète mal le sens. Défaut de mémoire : imputable aux questions pour public normal. La question fait appel à des capacités mnésiques supérieures à celles de l'enquêté (public spécifique ou normal) ou a des processus mnésiques qui déforment l'information (le passé est généralement reconstruit de façon à ce qu'il soit plausible et organisé). [...]