Sociologie, médias, réception des médias, Bourdieu, traditions médiatiques, École de Francfort, théorie des effets, sociologie des pratiques culturelles, domination culturelle, consommation de masse, école néo-marxiste, médias de masse, Adorno, Horkheimer, capitalisme, Lazarsfeld, théorie de l'opinion publique, critique des médias, manipulation médiatique, leaders d'opinion, positivisme, psychologisme, contre-culture médiatique
Plus que les médias, il y a un élément déterminant dans les choix électoraux, cela va être « l'importance des groupes primaires, des réseaux personnels » où l'on va retrouver une homogénéité des choix politiques dans la famille, les amis... La proximité politique s'accroît au fur et à mesure que le scrutin approche. Les « opinions leaders », ce sont des figures qui sont très en contact avec la presse et qui vont avoir un effet de conversion auprès des gens qui sont autour d'eux.
[...] Les médias aliénant les masses par la flatterie et la séduction. Résumé de la pensée d'Adorno et Horkheimer par Olivier Voirol Le capitalisme étend la valorisation marchande de la sphère économique à la sphère culturelle. Cette soumission aux intérêts capitalistes appauvrit les biens culturels. D'une vocation « instrumentales » à une vocation « opérationnelle », les médias devient un outil au service du capitaliste. Les médias modernes (radio, tv, cinéma) ne critiquent pas le capitalise. Ces médias imprègnent la conscience d'individus faibles. [...]
[...] « Là télé rend bête », « les médias manipulent les foules », « regardez Hanouna vous fait voter à droite ». Ces représentations ont irrigué jusqu'aux réseaux sociaux et qui sont également accusé de rendre les « gens bête ». Nous pouvons prendre l'exemple du scandale de « Cambridge Analytica ». Trois grandes traditions : L'école de Francfort La théorie des effets La sociologie des pratiques culturelles. La théorie critique de l'Ecole de Francfort Une théorie de la domination culturelle : Collectif de philosophes crée en 1923 sous la direction de Théodore Adorno et Max Horkheimer (juifs). [...]
[...] Un présupposé clairement élitiste : mépris pour les pratiques culturelles populaires. Critique du plaisir et de la jeunesse. Pierre Bourdieu dans les années 1960 très critique des « massmédiologues ». Carence (incapacité) d'un examen empirique des conditions réelles dans lesquelles les messages médiatiques sont reçus. Bourdieu et son Aller/Retour Francfort-Paris (Cyril Lemieux) - dans les années 90, Bourdieu va etre hyper critique de la consommation des médias (critique proche de l'école de Francfort). La théorie des effets Des recherches commandées par des associations, des institutions publiques, des médias . [...]
[...] Pour Bourdieu, il y a une correspondance entre les pratiques culturelles et sa position sociale (économique et culturelle). Division des « goûts culturels » en 3 grands ensembles : Les milieux cultivés pris dans un processus de distinction - (faire mieux que les autres). Les milieux intermédiaires et « la bonne volonté culturelle » - (essayer de suivre le gout des classes supérieurs avec un certain retard). Les milieux populaires qui subissent leurs consommations, « goût du nécessaire » - (l'idée du gout du nécessaire). [...]
[...] Il utilise la méthode du questionnaire (radicalisâtes et promoteur du questionnaire). Analyse des audiences, analyse de contenus Plusieurs enquêtes de grandes envergures par entretien : Quel(s) est l'effet(s) des médias sur les choix électoraux ? 1940 : 600 électeurs de l'Ohio durant la campagne présidentielles 1945 : Étude des choix de consommation de 800 femmes d'une ville de habitantes de l'Illinois. Parti pris d'étudier les médias au niveau des consommateurs/triches. Une théorie de « l'opinion public » : The People's choice, synthèse de l'enquête de 1940. [...]
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