Les jeunes ont au sein de leur groupe social de normes et de valeurs particulières, mais également des pratiques culturelles différentes par rapport à des groupes sociaux plus âgés. La façon de penser des jeunes sera différente par exemple dans le domaine religieux où la religion a moins d'importance ou dans la famille, dont le rôle aujourd'hui n'est plus le même qu'avant. Pour les jeunes, la famille est "un lieu où chacun peut se mettre à l'abri du monde extérieur."
Ainsi au sein de leur groupe social, les jeunes ont des valeurs qui évoluent et leur sont propres. Cependant peut-on dire que les jeunes forment une sous-culture ?
[...] Un jeune d'un milieu social aura donc des pratiques culturelles conformes à son milieu social. Sans doute qu'un jeune d'un milieu aisé aura plus les moyens de pratiquer des sorties culturelles comme les concerts ou le théâtre. En outre, les pratiques culturelles dépendent également du niveau de diplôme. Elles ne sont pas les mêmes pour tous les jeunes car on constate que 83% des jeunes ayant le BAC lisent des livres alors que seulement 48% des non-diplômés en lisent. On peut donc dire que les qualifications différentes entrainent des pratiques culturelles différentes. [...]
[...] Ainsi, les jeunes ont des caractéristiques et intérêts communs qui les réunissent dans un même groupe, comme leurs pratiques culturelles. Leur façon de pensée et leur mode de vie vont être particuliers. De plus en plus, malgré de grandes disparités qui subsistent encore et sont souvent la conséquence de la position sociale de chaque jeune, des normes et des valeurs spécifiques de la jeunesse vont apparaitre. C'est pourquoi l'on peut parler d'une sous culture qui n'est cependant pas totalement unifiée. [...]
[...] Les jeunes forment-ils une sous-culture ? En France, de nos jours, les jeunes sont considérés comme étant un groupe social à part se détachant des autres groupes, notamment celui des adultes, en ayant des caractéristiques communes. Globalement, un jeune possède des habitudes différentes des adultes, son mode de vie ne sera pas le même. Ainsi au sein de leur groupe social, ils ont des valeurs qui évoluent et leur sont propres. Cependant peut-on dire que les jeunes forment une sous-culture ? [...]
[...] Percheron, notamment dans la vie quotidienne. Cela est prouvé quelles que soient les caractéristiques propres comme le sexe, le milieu social ou le niveau de diplôme. La façon de penser des jeunes sera différente par exemple dans le domaine religieux où la religion a moins d'importance ou dans la famille où son rôle aujourd'hui n'est plus le même qu'avant. Pour eux désormais, la famille est un lieu où chacun peut se mettre à l'abri du monde extérieur Egalement, on constate des différences marquées avec les adultes et jeunes car les écarts se creusent entre le mode de vie de chacun et les libertés individuelles. [...]
[...] Cependant, des disparités subsistent entre les jeunes et cela va remettre en cause le terme de sous culture. Ils restent des différences entre les jeunes et cela va entrainer le fait qu'il n'y aura pas de groupe social jeune et donc pas de sous culture jeune unifiée. Tout d'abord, le milieu social et la socialisation influencent l'individu dans son mode de vie et certaines de ses pratiques. Par exemple, Galland montre que l'accès à l'indépendance est différent en fonction du milieu social. [...]
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