Introduction à la sociologie de l'individu, individualisation, Émile Durkheim, Auguste Comte, sociologie moderne, rapports sociaux, société traditionnelle, Max Weber, affaire Dreyfus, Tonies, Simmel, mondialisation, Bourdieu, habitus
Sans individus, le sociologue ne peut pas travailler, l'individu est l'atome, le point minimal de l'association avec le sociologue. Les questions, même de manières collectives, s'adressent toujours à la même personne, à l'individu. La sociologie se penche donc sur l'Homme vivant en société, dans la société. Il y a ici une histoire ainsi que plusieurs idées. Cette notion de l'individu remonte à l'époque du christianisme avec le premier père de l'Église Saint-Augustin au 4e siècle. Il faut travailler sur soi-même pour se connaître, plus on va au fond de soi-même plus c'est difficile de savoir qui on est, et c'est avec la période des Lumières que l'individu devient de manière concrète un élément de base de la société.
Arrivant au 19e siècle, la sociologie va s'intéresser plus en profondeur à l'individu. Auguste Comte va même créer ce mot qu'on utilise tous en 1838. Durkheim quant à lui se chargera de donner en France toute la dimension scientifique de la sociologie et celle-ci va se développer. La sociologie va d'abord se développer en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne grâce à ce que l'on nomme la Révolution industrielle, ouvrant les portes à une véritable révolution culturelle.
[...] La sociologie moderne entre 1er et 2ème modernisé. Les anciennes communautés d'habitant continuent à exister mais elles perdent de leur importance, de leur pouvoir de coercition. Dans les communautés villageoises il y avait une relative coercition dans le choix du marié. Cela disparaît. Il n'y a plus de prescription du mariage. D'autres formes d'organisations apparaissent dans les villes (syndicats, mutuelles, associations). Les rapports sociaux vont s'organiser différemment puisqu'il y a une masse d'ouvriers qui va travailler pour le bénéfice d'un patron. [...]
[...] (il va montrer que les goûts varient en fonction de l'origine sociale.) Ces habitus vont s'exprimer dans les styles de vie et nous permettre de nous mouvoir dans le monde social. Ces habitus vont nous permettre d'être à l'aise ou mal à l'aise. Ce que dit Lahire c'est qu'aujoud'hui le monde a changé, les catégories sociales ne sont plus aussi étanches les unes avec les autres. Il y a eu un boulversement dans les habitudes et les matières culturelle. Il n'y a plus d'homologie rigide dans un habitus, classe sociale ou style de vie. [...]
[...] L'homme est pluriel et ses actions quotidiens sont le fruit de ses multiples dispositions qu'il a en lui. Kofmann ne nous parle jamais de l'organisation de la société, il ne nous parle que des individus et dans quelles circonstances ils vont agir, se comporter. Lahire lui se concentre sur ce qui entoure l'individu et ce qui en découle, il est Weberien alors que les Durkheimien serait plutôt dans le style de Kofmann. Dans le monde moderne que nous connaissons ou nous sommes tous persuadé d'être autonome, libre de nos choix, en fait nous sommes sollicité par le monde extérieur et ces sollicitations produit des systèmes de normes. [...]
[...] Tandis que l'autre se concentre sur les normes pensant que les individus dépendent de celles-ci; mouvement durkheimien. Cette opposition n'est en vérité rien puisque tout sociologue sait aujourd'hui que les deux doivent être pris en compte pour comprendre la société. De plus en plus cette opposition historique perd donc de sa pertinance. Mais il faut bien la garder en tête puisqu'on a ici plusieurs traditions heuristiques qui se construisent avec cette opposition. C'est un peu l'histoire de la poule et de l'oeuf. La sociologie est donc la sciende la société des individus annonce Norbert Elias. [...]
[...] Pour Weber ce qui compte c'est le lien entre les deux qui sera différent selon les types de sociétés. SOCIOLOGIE DE L'INDIVIDU Introduction: Sans individus le sociologues ne peut pas travailler, l'individu est l'atome, le point minimal de l'association avec le sociologue. Les questions, même de manières collectives, s'adressent toujours à la même personne, à l'individu. La sociologie se penche donc sur l'Homme vivant en société, dans la société. Il y a ici une histoire ainsi que plusieurs idées. Cette notion de l'individu remonte à l'époque du christianisme avec le premier père de l'église Saint-Augustin au 4ème siècle. [...]
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