Interactionnisme symbolique, Goffman, Leiris, théorie de l'étiquetage, musées de la colonisation
L'individu quelle que soit la situation, adopte un comportement déterminé par le code, et ce code est rarement explicite, et ne peut être étudié qu'à partir de l'interaction sociale qui va en déterminer les lignes de forces. Ca sous-entend qu'il existe une syntaxe et une sémantique du comportement.
Donc dans leur action quotidienne, les hommes agissent en fonction d'un certain comportement, G montre que les interactions ont leurs propres règles et que ces règles sont étrangères aux individus qui ne peuvent les suivre hors de ce cadre social. Notion de dialecte corporel : il va définir la communication non verbale. Ce qu'il en dit résume bien son approche des comportements humains.
[...] Tout en questionnant la mauvaise conscience occidentale, d'autant plus celle des ethnologues, d'une part il doit montrer l'universalité des cultures humaines, mais dans les études sous dominations coloniales, il va légitimer cette domination, pour légitimer sont approche spécifique. A. Césaire, notion de négritude. Il disait dans cahier d'un retour au pays, l'exotisme soit un met de mauvaise qualité n'empêche pas l'anti exotisme de principe d'être une nourriture aussi indigeste Question du regard porté aux autres. Forme de domination symbolique de l'autre. Question de la finalité du regard porté sur l'autre placé à la confluence de toutes ces approches auxquelles Leiris prend part. [...]
[...] Ca s'avère pour Becker être le résultat d'une négociation d'une part avec des évènements, et d'autre part une pression sociale. Donc la déviance peut être caractérisée par la sociologie : la déviance ne relève pas de circonstance psycho-sociologique même si Becker ne nie pas que la déviance peut quelques fois relever de pbs psychologique. Déviance= infraction aux normes. Mais pour qu'il y ait déviance, il est nécessaire qu'il y est un jugement de la société qui sera dès lors décrit comme déviant. [...]
[...] Quant à la connaissance en générale, compléter l'histoire et l'ethnographie classique par un deuxième volet, où les choses seront décrites, du point de vu de l'autre partenaire, jusqu'à là demeuré muet. =>endo-ethnographie, faite par ceux dont on parle qui va décrire les situations concernées. Conclusion : Si l'histoire de l'anthropologie est liée à celle des musées de la colonisation. La fin de la relation coloniale, entamée à partir des années 1960, conduite à une double remise en question, de l'anthropologie, et des musées d'ethnographie. [...]
[...] Dans cette création de musées anthropologique qui fabrique l'identité, quitte à recomposer les fragments d'une identité douteuse. Dans les pays du Sud, le fait que le regard de l'occident, ne fonde plus la forme du musée de l'ethnologie. Ce qui pose une question dans la conception muséographique, question des identités, communautés imaginées. Puisque jusqu'à présent toute la conception du musée n'a pu se faire que par une double séparation : entre un autre extérieur (musée de l'homme) et un intérieur (musée des arts et traditions). [...]
[...] Ces écrits deviennent polémiques, se positionnant contre la domination, et colonisation. Également contre toutes les formes de regard ethnocentrique porté vers les autres cultures. Ces écrits marquent une rupture, face au déroulement de la mission Leiris. Les conditions de déroulement Dakar, Djibouti on été nécessaire pour les écrits ultérieurs. Anthropologie, fille de l'occident, également fille du regard que l'occident portait sur les cultures différentes. On sait que depuis la découverte du nouveau monde, l'anthropologie c'est fixée comme objectif les cultures différentes de celle des l'anthropologue. [...]
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