Égalité des genres, égalité des salaires, égalité au travail, travail, inégalité salariale, plafond de verre, précarité, sexisme, harcèlement sexuel en entreprise, marché du travail, taux d'emploi, taux d'activité, salaire, emploi à temps partiel
Les filles réussissent mieux que les garçons à l'école, quel que soit le milieu d'enseignement, la filière ou le niveau d'étude.
Les filles s'orientent davantage vers un enseignement général et dans l'enseignement supérieur (études longues). De telle sorte, aujourd'hui, les femmes de générations récentes sont plus souvent diplômées du supérieur que les hommes.
[...] Dans la note méthodologique est précisée au sein que cet échantillon, ils ont essayé de respecter les équilibres en termes d'âges d'ancienneté de région d'emploi ou encore de parcours professionnel. Les grandes entreprises ont eu un accord d'égalité entre les professionnelles - entré des femmes dans des métiers masculins. Être une femme dans des métiers d'hommes = difficulté et résistance. Il y a eu des dispositifs juridiques qui ont permis la féminisation de certains milieux professionnels mais en pratique il y a encore des difficultés. Les auteurs s'appuient sur des discours recueillis. [...]
[...] - Temps partiel = salaire partiel Ce temps partiel, s'est véritablement un monde sexué de gestion de la main d'?uvre. Margaret MARWANI - travail des femmes « aucune autres formes d'emploi et à ce point sexuée », « c'est la figure emblématique de la division sexuelle sur le marché du travail ». Le temps partiel permettrait une meilleure articulation entre temps de travail et temps libre (vie familiale). Le travail à temps partiel n'exclut pas de très longue journée de travail notamment, avec les horaires variables et décalées (au dernier moment). Elles travaillent souvent les week-ends à l'instar des salariées à temps complet. [...]
[...] Les auteurs mettent en évidence un sexisme hostile (négative à l'égard des femmes dans ses milieux là) ainsi, que le sexisme « bienveillant » : plus insidieuse mais qui finalement renvoi toujours à des stéréotypes ou des préjugés liés à la capacité des femmes. Celui-ci repose sur la domination concernant le partage des rôles. Autre difficulté : le manque de confiance. C'est-à-dire, que les femmes techniciennes doivent prendre bcp de temps avant d'être reconnue (erreur de faite - aucune collaboration). Faire face à ce type d'attitudes aux quotidiens relève de l'épreuve à passer = bizutage à long court. Chacune à sa manière de réagir pour faire face, faire avec ou tenir bon. [...]
[...] Pas seulement du collectif du travail mais aussi de l'extérieur (client). Elles doivent s'adapter à des codes masculins et doivent incorporer des façons d'être et de faire qui sont spécifique au milieu où elles évoluent « pour échapper aux processus de stigmatisation ses femmes sont confrontés à une double contrainte : maitriser une gestualité « masculine » tout en démontrant leur appartenance à la catégorie femme » prédisposition et incorporation (garçon manqué) = justifie l'orientation dans ses milieux là (étiquetage). Concernant les femmes cadres (responsabilités), elles déchantent d'une autre manière, c'est une autre forme de résistance qui sont lié aux exigences du management moderne calqué sur des normes masculines (càd, exigence de disponibilité, implication à 100%). [...]
[...] Espoir du côté de l'école : la certification scolaire ne cesse de progresser et la volonté de reconnaitre ses qualifications sur le marché de l'emploi émancipation des femmes. La question : comment pensez l'émancipation ? On peut se poser la question si le travail permet l'émancipation des femmes ? Deux théories qui rentrent en concurrence : - KERGOAT = elle montre comment par le travail se joue non pas le renversement ou l'abolition des rapports sociaux de sexe mais comment par le travail les classes sociaux de sexes sont reconfigurés. Émancipation dans le travail. [...]
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