individu, groupe, influence sociale, stéréotypes, attributions causales, norme d'internalité
Depuis que l'on est né, on appartient à un groupe, donc on est tous concernés par les groupes. Nous allons travailler avec des groupes, ce qui ne demande pas des compétences particulières, mais demande néanmoins quelques notions pour ne pas perdre le contrôle, surtout que les réactions spontanées ne sont pas toujours les meilleures. Cela nécessite donc d'avoir une expérience théorique du groupe et une expérience de terrain. On a besoin de l'autre pour exister, pour être humain, mais on est aussi marqué par l'ambivalence de l'autre et l'on est contraint par la liberté de l'autre.
L'homme n'est pas fait pour vivre seul, il a besoin des autres non seulement dans l'entraide et la coopération, mais aussi pour partager le sentiment d'exister. Son jugement, ses découvertes, ses émotions n'ont de significations et de valeurs que si d'autres peuvent aussi les éprouver ou les confirmer, si d'autres peuvent en être les témoins ou les garants. Aussi, la communication avec autrui apparaît comme le premier besoin, et semble le plus impérieux de tous. Plus un enfant reste sans échanges, notamment au début de sa vie, plus il y aura des difficultés d'adaptation par la suite. On ne devient Homme qu'au contact de soins humanisant, parce que l'on est inséré à des groupes.
[...] - Les procédures doivent être basées sur des informations fiables et des vais documentés, pour minimiser les erreurs - Les procédures permettent aux individus de réviser les décisions en faisant appel - Les procédures doivent représenter les valeurs et les objectifs de la majorité des personnes impliquées par la décision - Idée que les procédures doivent respecter les standards éthiques et les valeurs morales valorisées par les individus concernés Impact du sentiment de justice procédurale sur le burn-out Conséquence du sentiment d'injustice au travail sur l'épuisement professionnel Plus elle est élevée et moins j'aurai de burn-out. Laquelle a le plus d'impact sur le burn-out ? [...]
[...] Les rats du groupe 1 vont alors beaucoup moins bien réussir la tâche du labyrinthe que les rats du groupe 2. Après analyse, on s'est rendu compte que les étudiants croyant que leurs rats étaient intelligent leur ont montré plus de sympathie, de chaleur, que ceux du groupe 1 pensant avoir des rats nuls. Ils ont ensuite reproduit l'expérience, mais sur des enfants. Ils ont voulu savoir si le fait de croire que certains enfants étaient plus ou moins doués que d'autre aurait des répercussions sur l'enfant. [...]
[...] A partir du moment où les rôles et les taches sont bien définies on est compétent dans une équipe et à partir du moment où la notion de respect entre les différents individus du groupe est en permanence respectée. Compétent si on peut respecter, analyser, émettre son point de vue, et voir son point de vue pas accepté par tous. Comment se développent les compétences d'une équipe ? c'est avant tout une compétence que je dois développer moi-même quels sont mes points fort et mes points faibles et ceux des autres Porter : à regardé les écoutes qui allaient favoriser la relation et celles qui allaient nuire à la relation. [...]
[...] Dans le groupe 2 au contraire, on observe deux choses : il y a un écart entre les résultats des filles et des garçons, avec les garçons qui ont de meilleurs résultats que les filles, et en plus de cela, cela booste l'estime de soi des garçons qui vont avoir une meilleure note qu'à l'ordinaire. Croizet et Claire (1998) : toujours avec des étudiants de psycho. On s'intéresse issu au stéréotype de la condition socioéconomique. On va s'intéresser à des étudiants issus de catégories socioéconomiques différentes. On leur présente des taches de capacités verbales. Pour évaluer leur capacité intellectuelle dans ces taches. [...]
[...] Expérience : Jonson et Harris (1967). Il y a deux groupes, à l'un on demande d'écrire un essai en faveur de Fidel Castro et à l'autre d'écrire ce qu'ils veulent sur F. Castro. On donne ensuite ces textes à lire à des personnes connaissant les consignes et devant deviner l'opinion des personnes ayant écrit. Les résultats montrent que les participants pensent que l'essai reflète la véritable attitude de la personne à l'égard de Castro. Or cela n'est pas analysable étant donné que l'un des groupes a été obligé d'écrire un essai favorable, et donc n'a peut-être pu dire ce qu'il pensait réellement. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture