enfance, famille, psychologie infantile, discipline, apprentissage
A partir de la 2nde moitié du 17ème, se produit un changement de mœurs dans les sociétés occidentales. Ce processus dont l'origine semble se situer à la renaissance, s'apparente à un processus de moralisation liée à l'action des réformateurs catholiques et protestants. De cette entreprise des reformes des mœurs nait un sentiment nouveau a l'égard de l'enfance, cela se traduit par une réorganisation de la vie familiale autour de l'enfant mais aussi par un changement majeur dans son éducation.
[...] L'enfant s'éloignait vite de ses parents et pendant des siècles, l'éducation a été assurée par l'apprentissage grâce a la coexistence de l'enfant et du jeune homme et de l'adulte. L'enfant apprenait les choses qu'il fallait savoir en aidant l'adulte à le faire (en dehors de la famille). A partir de la fin du 17ème, un changement notable intervient, l'école va se substituer à l'apprentissage comme moyen d'éducation. Cela veut dire que l'enfant cesse d'être mélanger aux adultes et d'être mélanger a leurs contacts. Au contraire, il est maintenant séparé des adultes et maintenu a leurs écarts. [...]
[...] Les gentlemans n'ont pas délaissé les vieux jeux, ils les ont transformés et ceux sous des formes modernes et méconnaissable qu'ils se sont transformés en sport au 19ème siècle prise en compte de la psychologie infantile Le nouvel intérêt pour l'enfance que l'on voit apparaitre chez les moralistes et les éducateurs au 19ième siècle semble naitre d'une prise en compte de ses particularités individuelles et psychologiques. La spécificité infantile est alors prise en compte dans les méthodes d'éducation dans lesquelles il s'agit de pénétrer la mentalité pour s'adapter à leur niveau. Sentiment de l'enfance et organisations scolaires. [...]
[...] Ainsi, progressivement certains jeux deviennent populaires ou enfantin. C'est le cas de la paume, de tout les jeux d'exercices, il été celui que les moraliste de la fin du moyen âge tolère avec le moins de répugnance. Il été commun au roi, a la noblesse et au paysans pendant plusieurs siècle. Or vers la du 17ème, on constate une désaffection des gens de qualités à l'égard de ce jeu, par contre les paysans et les enfants continuèrent à la pratiquer encore un temps. [...]
[...] De même un adulte désireux d'apprendre pouvait se mélanger à une histoire enfantine. C'est sans l'effet de la naissance du sentiment de l'enfance que vint un moment où naquis une certaine répugnance à l'égard du mélange des âges. Peu à peu, le collège modifie son fonctionnement et son recrutement. Il devient un groupe d'âge massif allant de 8 à 15 ans et parait plus soumis à une loi différente de celle des adultes Sentiment de l'enfance et discipline Dès le 15ième siècle, une nouvelle idée de l'enfance et de son éducation apparait : un principe plus strict et nouvelle réglementation Cet aspect de la discipline permet de dégager une nouvelle observation du 14ième au 17ième. [...]
[...] L'église médiévale condamne en effet les jeux sous toutes ses formes sans exception ni réserve. Le refus d'admettre qu'il pu exister des loisirs innocent amène la réprobation des jeux de hasards mais aussi des jeux de société, de la comédie ou de la danse, et même des jeux physiques. Cette attitude absolue de réprobation se modifie au cours du 17ème sous l'influence des Jésuites qui imposent en effet une opinion moins hostile à l'égards des jeux, ils les proposèrent dans leurs programmes sous réserve de les choisir, de les régler, de les contrôler. [...]
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