Territoire, ville, espace urbain, aménagement urbain, identité, identité de genre, genre, sexe et genre, individualisation, identité collective, identité sociale, culture, identité culturelle, LGBTQIA, lieux, modèles, masculinité, patriarcat
Le tournant identitaire date des années 1960-1970 et voit le jour aux Etats Unis, à la période de la revendication des droits civiques notamment. L'intérêt scientifique de l'identité tient certainement à son profond renouvellement, l'identité est constamment en modification. Dans la fin des années 80, on a un nouveau monde qui s'affirme, celui de la mondialisation. À la fin des années 80, la mondialisation adopte différents profils : la circulation monétaire mondiale/ villes mondiales globales/ les firmes transnationales/ disneylandisation du monde/ la génération du web. La technologie et la communication ouvrent ce que l'on appelle les autoroutes de l'information avec une annihilation des distances. Le tourisme s'est aussi mondialisé. Un tourisme qui se nourrit de la spécificité locale et des produits mondialisés. À la fin du XXe siècle les activités sportives prennent une dimension intercontinentale : événements mondiaux et retranscrits par la télévision par exemple.
[...] Ensuite on a des lieux rattachés (lieu d'accueil des diasporas). Ensuite l'identité peut être en symbiose avec le lieu. On a le renforcement de lieux et de personne. Exemple de la chanteuse : devient une figure/ incarne l'orient et l'arabe par son art. elle devient une figure emblématique du panarabisme. Des chansons très longues étiré dans le temps arabe avec une conception du temps éloigné de l'occident. Il existe une relation entre la chanteuse et son public : le tarabe. [...]
[...] Le décor est une représentation mentale des occidentaux. L'idée est de faire en sorte que le touriste va pouvoir trouver ce qu'il voulait trouver dans le lieu en question. Dans les îles volcaniques, on a du sable noir, on implante du sable blanc, si on a pas de cocotiers, on va en implanter. On a des acteurs pour l'exotisme et aussi le décor transformé. L'un des risque c'est qu'il n'y a plus grand-chose d'authentique, donc beaucoup de destinations touristiques se ressemblent. [...]
[...] on peut considérer l'altérité comme une logique de territorialisation. Territorialisation* = à partir d'un espace donné l'autre construit son environnement, et il va certifié son existence a partir d'un lieu qui lui est propre. C'est le lieu d'émancipation du groupe. Conceptualisé l'ailleurs c'est prendre en considération l'individu : pas d'ailleurs sans individu, c'est le produit de la considération humaine. On a une posture spatiale observatrice : l'intérêt pour un autre espace que le sien. L'ailleurs est lié à l'idée de dépaysement : sentiment d'étrangeté. [...]
[...] En fonction des différents habitat on va vivre différemment le monde, en fonction du mobilier aussi, la jonction et l'organisation de l'habitacle. Cela traduit de posture, de mœurs, de culture et de comportement. Il y a l'ouverture et la fermeture de la maison sur l'environnement immédiat avec le choix des volumes, des formes, des matériaux qui compose la maison, l'orientation des pièces de la maison et la décoration de la maison. Tous ces détails illustrent les croyance et les valeurs qui caractérisent les organisation sociale. Et cela va influencer sur notre identité. La maison peut être un objet transitionnel. [...]
[...] Le sujet se définie en fonction de « je » et de ses propres critères. Selon Paul Ricoeur: l'individu a deux identités : l'identité mêmeté et l'identité ipséité : - Le fait de rester le même/ d'être cohérent a sa propre subjectivité. - Ce que nous sommes dans un certain lieu et un certain âge C'est une construction toujours inachevé et qui n'est rien d'autre que le produit d'un résultat. On a pas une appartenance identitaire mais on peut en avoir plusieurs : multiplication des appartenance et l'individu se défini par une somme d'appartenance. [...]
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