Concept de genre, Christine de PISAN, Femme réveille-toi !, féminismes, genre, Moeurs et sexualité en Océanie, Margaret Mead, De Beauvoir, Le deuxième sexe, infériorité historique, Stoller, Money, Sex, Gender And Society, Belotti, Du coté des petites filles, Une socialisation sexuée, Duri Bellâtre, Françoise Héritier, Masculin/Féminin, L'exercice de la parenté, Bourdieu, La domination masculine, Michel Bozon, Karl Marx, Delphy, Guillaumin, Foucault, Gayle Rubin, Histoire de la sexualité, Surveiller et jouir, Butler, Tout est construit, Olympe de Gouges, droits de la femme
Le concept de genre émerge au milieu du XX? siècle et il est donc tardif par rapport à l'histoire de la sociologie, de la philosophie ou de l'histoire même.
Néanmoins, il y a certains chercheurs qui s'y sont intéressés à cette question, mais il faut attendre les années 660 pour élargir les travaux sur les inégalités.
Premièrement, en France, dès le XV? siècle, il y a eu une écrivaine qui se nomme Christine de PISAN (1364 - 1431) qui est considéré comme l'une des pionnières du féminisme et qui imagine dans ses écrits : « l'égalité des sexes ».
Dans un autre temps, on va retrouver Olympes de Gouges avec son ouvrage : Femme, réveille-toi ! Qui retrace la déclaration des droits de la femme et des citoyennes en 1791. Certains hommes se joignent à cette revendication, mais leur combat et très difficile, notamment, parce qu'elles sont accusées de « déroger aux lois de la nature ».
[...] Dans son ouvrage elle nous dit que : « le fait d'être traité matériellement comme une chose fait que vous êtes aussi dans le domaine mental considéré comme une chose » double articulation du registre « matérielle » et « idéelle » dans cette citation. Le fait d'être traité comme des choses : « Nous avons tendance à le nier, à l'oublier, à refuser d'en tenir compte. Ou mieux à le maquiller en réalité métaphorique. Alors même que ce rapport est la source de notre conscience politique et de classe ». [...]
[...] Pour Pierre Bourdieu, la domination masculine exerce des contraintes sur les hommes. Ces derniers sont socialisés au devoir de virilité permanent (attester sa masculinité, sa force dans toutes circonstances). Il précise : « Si les femmes soumises à un travail de socialisation, qui tend à les diminuer, à les nier, font l'apprentissage des vertus négatives d'abnégation, de résignation et de silence, les hommes sont aussi prisonniers, et sournoisement, victimes de la représentation dominante. Comme les dispositions à la soumission, celles qui portent à rien endiguer et à exercer la domination ne sont pas inscrites dans une nature et elles doivent être construites par un long travail de socialisation, c'est-à-dire comme on la vu de différenciation active du sexe opposé. [...]
[...] L'appropriation et l'exploitation de leur travail dans le mariage constitue l'oppression commune à toutes les femmes ». On voit bien que c'est le rapport social qui conditionne et qui préside l'exploitation gratuite et illimité des femmes dans l'univers domestique et notamment dans le mariage (en tant que dorme personnelle et globale qui résulte d'un rapport collectif, institutionnel et étatique. Elle part d'un système dans lequel une classe à exploité une autre et ont à mit une étiquette au nom de la nature (Homme/Femme) pour qu'il s'approprie gratuitement la production de biens et de services. [...]
[...] L'émergence du concept de genre : de l'inuable aux contingents L'histoire tardive ? Le concept de genre émerge au milieu du XXème siècle et il est donc tardif par rapport à l'histoire de la sociologie, de la philosophie ou de l'histoire même. Néanmoins, il y'a y certains chercheurs qui s'est intéressé à cette question, mais il faut attendre les années 660 pour élargir les travaux sur les inégalités. Premièrement, en France, dès le XVème siècle, il y a eu une écrivaine qui se nomme Christine de PISAN (1364 - 1431) qui est considéré comme l'une des pionnières du féminisme et qui imagine dans ses écrits : « l'égalité des sexes ». [...]
[...] Il suffit pas de dire ça c'est la théorie du genre, NON D'où vient la domination ? Comment se construit-t-elle ? Il y aura deux sujets de dissertation : Une question sur une partie du cours en précis, il faudra prendre appuie sur le cours mais pas que parce qu'il faut aussi l'interpréter . Une question plus transversale qui sera sur l'ensemble du cours. Une ouverture est conseillée si on peut, c'est-à- dire basculer sur un autre sujet à la fin, au-delà de ce sujet. [...]
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