Division du travail social et travail social de division chez Emile Durkheim

Thèmes abordés

Division, travail, social, Emile Durkheim, solidarité mécanique, solidarité organique

Résumé du document

Thèse de Durkheim sur la division du travail social : « de la division du travail social ». Il a écrit un ouvrage en 1893. L'objet d'étude ce sont les formes de solidarité qui font qu'un groupe social est un groupe. Dans la notion de groupe il ya toujours cette idée que les gens qui en font partie on toujours quelque chose qui les unis.
La question du lien social se pose car à cette époque dans ces pays en cours d'industrialisation on assiste à « la grande dépression » qui a duré 20 ans. Cette grande dépression c'est le moment où des pays à base rurale commencent à basculer dans un autre type d'économie, l'économie de marché. Et ce basculement entre une économie rurale à une économie de marché va entrainer des désordres. C'est donc un moment de grands bouleversements. On a le développement de moyens de transport nouveaux, de la poste, qui unifie le territoire. L'ensemble du territoire en France, les normes sociales s'unifient. On a une monétarisation de nombreux rapports sociaux. Par exemple le salaria, les paysans qui travaillaient pour le compte d'un propriétaire, souvent n'étaient pas payés en argent. Petit à petit ils vont devenir des salariés où la notion de salaire n'avait pas de sens.

Extraits

[...] Et cette réparation est garantie par la société, ne serait ce que parce que la société garantie l'exécution de cette remise en état. Deuxièmement, la plupart des règles juridiques ne s'établissent pas entre tous les membres d'une société : selon Durkheim les règles juridiques dans ces sociétés à très forte différenciation sociales « relient entre elles des parties restreintes et spéciales de la société ». Les contrats font loi entre les parties. Ces règles juridiques ne mettent pas en jeu des états collectifs de la conscience. [...]

[...] C'est-à-dire que le droit est à la fois l'indicateur et l'organisateur de ces formes de solidarité sociale. Dans les sociétés à solidarité mécanique, le droit prédominant est le droit répressif. Pourquoi dans les sociétés archaïques on a cela ? Premièrement, le droit répressif sanctionne la violation de valeurs collectives et sanctionne cette violation au nom de la société toute entière. Quand il y a violation d'une coutume dans ces sociétés, c'est la société dans son ensemble qui se trouve agressée. [...]

[...] Le droit a pour but de favoriser la coopération entre ces individus. D'où un droit spécifique entre les employeurs et les employés. Troisièmement, le droit restitutif exprime cette nouvelle forme de solidarité organique qui est organisée par ce droit lui-même. C'est un droit qui vise à faire coopérer les individus les uns les autres. Comment se fait il qu'en devenant plus autonome l'individu dépende plus étroitement de la société ? Ce type de solidarité organique montre que dans une société où l'individualisme est fortement développé, en même temps ces individus dépendent plus étroitement de la société mais aussi juridiquement tous les actes sont encadrés par le droit, il n'y a pas d'activité qui ne soit pas encadrée, orientée par des règles de droit. [...]

[...] Division du travail social et travail social de division chez Emile Durkheim Problématique de la thèse de Durkheim Thèse de Durkheim sur la division du travail social : « de la division du travail social ». Il a écrit un ouvrage en 1893. L'objet d'étude ce sont les formes de solidarité qui font qu'un groupe social est un groupe. Dans la notion de groupe il ya toujours cette idée que les gens qui en font partie on toujours quelque chose qui les unis. [...]

[...] Dans les sociétés différenciées, il n'y a plus de conscience collective car les individus sont différents les uns des autres. D'où l'expression de conscience individuelle. La différenciation sociale va jusqu'à différencier les individus les uns des autres. Il a mis plane dans le tableau mais ce n'est pas une conscience planante, c'est une conscience collective qui est diluée, flou, diffuse. Alors que dans les sociétés primitives, la conscience y est particulièrement précise. Les sociétés primitives ce sont des sociétés à dominance religieuses. [...]