En étymologie, le terme "groupe" serait récent. Il aurait été importé d'Italie, du monde des beaux arts "groppo" vers le milieu du 17ème siècle. Ce mot signifiait "assemblage d'éléments d'une catégorie d'être ou d'objets. Il s'impose dans le langage en tant que réunion de personnes seulement un siècle plus tard".
Le concept de groupe aurait eu du mal à s'imposer à cause de préjugés individuels et collectifs (d'ordre psychologique ou psychanalytique). Ils s'appuient sur les résultats d'une enquête de l'AFAP en 1961 (association française pour l?accroissement de la productivité) (...)
[...] Mais à contrario, le groupe évince la personnalité de l'individu, une sorte d'aliénation. Par ailleurs, le groupe serait une évidence, un tout où l'individu ne perçoit pas la vie autrement. Les groupes auxquels on appartient : La famille (1er groupe), la tribu, le village. Ce sont des lieux de préjugés d'ordre sociologique, il y a donc des règles sociales. Pour les organisations collectives, le groupe à grande échelle comme l'état, l'armée, les ordres religieux, qui sont des petits groupes restreints qui seraient une force mais représenteraientt également une menace. [...]
[...] Ainsi on peu envisager le changement en réduisant les tensions internes : Décristalliser Changer Cristalliser Les disciples de KURT LEWIN après sa mort on instauré la méthode du GROUP (ou groupe de diagnostic, c'est une approche clinique). Le T-GROUP permet une analyse des effets de communication, des affinités et de l'autorité dont on observe en cas d'absence de pouvoir. On retient qu'en France le groupe de diagnostic est adopté depuis 1956, il consistait en l'apprentissage de la négociation, et de la concentration et de l'entrainement du travail en groupe. SERGE MOSCOVICI vient se positionner en contradicteur des expérimentalistes. [...]
[...] Il avance que les individus sont reliés entre eux par 3 relations possibles : Sympathie Antipathie Indifférence Au sein d'un groupe, ces relations peuvent être mesurées à l'aide d'un questionnaire et le dépouillement sous forme d'un tableau révèle les liens sociaux affectifs et la cohésion du groupe. La représentation groupique de ces liens s'appelle le sociogramme. La dynamique de groupe de KURT LEWIN (1890-1947) est révélée par l'étude du groupe artificiel (créé exprès pour l'expérience) en incorporant des variables de climats sociaux (avec un leader autocritique, un leader démocratique, un leader laissé-faire). [...]
[...] Il aurait été importé d'Italie, du monde des beaux arts groppo vers le milieu du 17ème siècle. Ce mot signifiait «assemblage d'éléments d'une catégorie d'être ou d'objets. Il s'impose dans le langage en tant que réunion de personnes seulement un siècle plus tard Le concept de groupe aurait eu du mal à s'imposer à cause de préjugés individuels et collectifs (d'ordre psychologique ou psychanalytique). Ils s'appuient sur les résultats d'une enquête de l'AFAP en 1961 (association française pour l‘accroissement de la productivité). On ne percevait du groupe que des relations interindividuelles. [...]
[...] Ephémère car elle peut rentrer en sommeil et se réveiller pour sporadiques discutions, soit les membres évoluent psychologiquement et se désengagent ainsi du groupe. Envie de se ressembler, notion d'appartenir à la bande, action au sein de la bande sont spontanées donc peu réfléchies donc peu importantes pour le groupe. Le REGROUPEMENT : Réunion de personnes en petit, moyen, ou grand nombre Périodicité importante Constance relative des objectifs But : répondre à un intérêt des membres (ex asso son but est souvent de maintenir une croyance, une norme. [...]
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