Science sociale, anthropologie, race, racisme, ethnocentrisme, politique de domination, ethnie, ligne génétique, racisme scientifique, inégalité des races humaines, antisémitisme, racisme institutionnel, politique raciale, discrimination, culture, Sarah Mazouz, La Pouge, Didier Fassin, Éric Fassin
Lorsque l'on parle de racisme, on parle d'un ensemble de théories et de croyances qui établissent une hiérarchie entre les races, entre les ethnies. Ces théories sont présentées comme des faits scientifiques établis qui établissent une existence de race et qui hiérarchisent ses races.
Cela mène à une position politique qui va consister à fonder des politiques de dominations de groupes sur d'autres à partir des critères de supériorité biologique d'un groupe sur un autre. Cela renvoie de manière plus générale à une attitude d'hostilité que ce soit par la parole, la pratique, l'agression et/ou la violence sous différentes formes et évidemment le mépris et la condescendance envers d'autres individus considérés comme inférieurs.
[...] Autrement dit, tous les individus sont les mêmes et sont égaux en droits - égalité formelle entre les individus. C'est ce qui va se mettre en place à l'issue de la seconde GM condamnation politique et scientifique du racisme mise au banc de tous les discours assimilés avec des discours raciste afin de prôner l'universalité. La question du racisme est une question qui est considéré comme régler du point de vue politique. Le constat de la disparition supposé des idéologies racistes et fortement critiquées par un certains nombres de chercheurs, notamment en sociologie et en anthropologie afin de e montrer que le racisme n'a pas disparu des sociétés européennes et qui prends d'autres formes que ce discours idéologique. [...]
[...] Ces chercheurs vont ré mobiliser le terme de « race », comme outil d'analyse critique des rapports sociaux au sein de la société, comme un mécanisme social qui assigne des groupes d'individus à des positions hiérarchisées au sein de la société. Ils vont mobiliser la notion de « race » à partir des années 80-90-2000, en France, afin de parler des discriminations racistes et des assignations raciales dans les sociétés. On parle de la notion de « race » pour décrire les rapports sociaux qui sont fondées sur cette mécanique raciste. L'idée de ses recherches et de ré mobiliser cette notion pour montrer qu'il existe des rapports de pouvoirs, mais également d'examiner ces processus qui se mettent en place. [...]
[...] C'est donc un ensemble d'opinions qui n'ont aucun lien logique entres elles et donc c`est surtout une doctrine et un choix poltiique qui a servie et qui sert encore aujourd'hui. Sources du racisme A la fin de 2[nd] GM, l'idée à été de déconstruire l'idéologie raciste et de comprendre/déconstruire ce qui fait le racisme. Du point de vue de la génétique et de la biologie il n'existe pas de différence entre les êtres humains. D'un point de vue général comprendre les raisons de la mise en place de la mécanique raciste ? [...]
[...] La génétique à permit de montrer qu'un point de vue biologique il existera qu'une seule forme d'êtres humains tout etre humain est semblable de sa race. L'autre point c'est que l'intégralité des groupes actuels sont le point de vue d'un métissage plus ou moins important et il serait impossible de créer des groupes purs du point de vue du sang et/ou du point de vue biologique. L'idée de race et de pureté biologique est inadéquate pour parler de groupe d'humains. Néanmoins, dans l'histoire du racisme on a associé une différence « biologique » avec d'autres éléments culturels pour renforcer l'idée de différence. [...]
[...] Par ailleurs, on retrouve cette idéologie également en Italie, en Europe de l'Est (slaves) avec la construction de ghetto où l'on va mettre une partie de la population, dans les pays anglo-saxons avec les théories eugénistes où l'on va se préoccuper des manières de préserver la « race blanche ». Cette idéologie va se décliner et donner lieu à différent contexte de société qui varient en intensité et en logique selon les cas, l'Allemagne nazi n'est pas équivalente avec les autres types de politiques. Pour autant, on retrouve une idée commune qu'il y a une différence et une supériorité biologique d'un groupe d'humain. [...]
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