sociologie, anthropologie, mondialisation, globalisation, modèle économique, post-colonialisme, néolibéralisme, cultures, migrations, culture d'immigration, diversité culturelle, mixité sociale, impérialisme culturel, occidentalisation, massification de l'information, capitaliste
Après 1950, la mondialisation est une nouvelle étape de ce processus de mise en contact des différentes sociétés et différentes cultures. Lorsque l'on parle de mondialisation, on insiste sur la continuité du processus. On insiste sur une rupture et le fait qu'il y ait une nouveauté par rapport au processus précédent. Cette idée insiste sur le jeu d'échelle entre locale et globale, les relations ont lieu à une échelle beaucoup plus importante que précédemment. Lorsque l'on parle de globalisation ou de mondialisation, cela fait premièrement référence à un modèle économique qui possède de multiples dimensions. On parle souvent de la transformation des richesses et de ses échanges dans le monde depuis la deuxième partie du XXe siècle.
[...] On insiste sur une rupture et le fais qu'il y'a une nouveauté par rapport au processus précédent. Cette idée insiste sur le jeu d'échelle entre locale et globale, les relations ont lieu à une échelle beaucoup plus importante que précédemment. Lorsque l'on parle de globalisation ou de mondialisation cela fait premièrement référence à un modèle économique qui possèdent de multiples dimensions. On parle souvent de la transformation des richesses et de ses échanges dans le monde depuis le deuxième parti du XXème siècle. [...]
[...] Des éléments culturels existant peuvent se confronter et exister ensemble - simultanéité de pratique. La culture ne se limite pas à certaines traditions matérielles Lorsque l'on parle impérialisme culturel dénoncer le fait que ces sociétés changent en très peu de temps et que ces transformations soient plus subites que transmit Post-Colonialisme et néolibéralisme Du point de vue intellectuel, on retrouve une position de domination où les ex-colonisateurs ont un poids beaucoup plus important, notamment dans l'invention de nouvelles idées. Officiellement les relations coloniales n'existent plus, mais dans la pratique ont retrouvé certains pays qui soutinrent d'exercer une influence considérable sur les anciennes colonies. [...]
[...] Dans cette vision, il y'a des pratiques qui se transmettent, qui se transforment et qui se perdent (réf : tradition). L'image de la culture comme quelque chose de figée et qui s'hérite rait tel qu'elle. On a aucune vision de la dynamique de la culture. [...]
[...] Elle ignore le changement culturel qui a lieu dans le processus de migration. La culture n'est jamais stable, elle connaît des transformations des pratiques et des personnes qui se déplace d'un contexte culturel à un autre - on ne reste jamais le même et notamment dans un parcours biographique marqué par la migration. Elle méconnaît la diversité sociale et culturelle de la population migrante. Les profils sociaux des migrants peuvent la aussi être différent selon plusieurs critères pratiques culturelles en partis différentes. [...]
[...] Réf : Arjun Appadurai (anthropologue contemporain), Après le colonialisme : Les conséquences culturelles de la globalisation Paris. Pour lui, la mondialisation est une accélération de flux de capitaux, de marchandises, d'être humain, mais aussi d'image et d'idée. Cette accélération va contribuer à nouer de nouvelles relations sociales entre les individus. La conscience des individus va donc se transformer - comment les individus vont penser le monde qui l'ai entouré. Avant cela, les individus se constituer leurs propres limites, en revanche, avec ce changement ces limites explosent et les individus ont un stock de référence culturelle et symbolique pour se penser et s'identifié. [...]
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