Notion d'art, masque, rituels, anthropologie, ordre social
Au sens propre, il n'y a pas d'art. Il y a de la symbolique. Ca sert à émouvoir, à faire beau, à instaurer un certain ordre social et ce de façon indirecte. Forme symbolique. L'objet de l'anthropologie c'est le symbole. Qu'est-ce qui fait l'homme. Il y a tout d'abord une réponse physique, raciale.
Cette hypothèse à conduit à une catastrophe humaine et donc qui nous fait renoncer au fait de poursuivre dans ce sens. Car on constate qu'il n'y pas de race humaine, il n'y en a qu'une. Qui fait qu'il y a des différences de comportements. C'est au lendemain de la seconde guerre mondiale que l'anthropologie se divise : anthropologie physique (étude de l'évolution physique de l'homme) et il y a l'anthropologie culturelle.
[...] Relier à la mort. Le dispositif rituel ouvre une brèche dans le réel : - Forme de l'invisible : o Contours de l'au- delà :mesocosmes ( l'origine et la fin, mondes imaginaux), référents : créatures surnaturelles, les grands hommes (le visage du mort). o Formes de l'échange : métaphores (parousie (appel des dieux, possession), voyage ; médiations : objets de médiations, passeurs. Le réel vit dans un monde imaginaire. C'est à partir de ce moment là qu'apparait les monstres : à la frontière. [...]
[...] Taille du grand masque : - recherche du bois. - taille du masque : travail collectif, chants/ récits mythiques, consécration par les peintures, mise en réserve du nouveau masque dans un abri près de l'ancien, sacrifice. -choix des initiés les anciens choisissent les nouveaux parmi les mâles adultes et adolescents de la communauté. -réunion des nouveaux initiés pour le sacrifice du Grand Masque. - préparation à la retraite : crâne rasé, boisson, paquetage. - retraite dans la brousse et enseignement des mythes de la langue secrète. [...]
[...] Ce qui compte c'est la relation. Forme : veut dire qu'on n'a pas à faire à que des objets, mais, à des manières d'êtres. C'est la perspective. C'est-à-dire une certaine manière de peindre, mais aussi une manière de la regarder, de se placer devant la toile. Une forme c'est une disposition subjective, et c'est pour cela qu'on produit des objets, des manières d'être. Par exemple le cinéma, pas seulement un truc qu'on projeté, c'est une manière d'être : de se tenir, dans le noir Cours 3 : L'activité symbolique c'est ce qui relie les choses. [...]
[...] Il n'y a pas de sens dans cette pratique, pas de mot s'y rapporte, ni l'art. De plus, il n'y a pas de différence entre beau et utile. Ce qui compte c'est d'être en train de faire, fini on les jette. C'est la valeur dans l'acte et pas le produit fini (les mandalas aussi). C'est un concept d'art imposé par les occidentaux. Cours 2 : On ne peut pas appliquer les choses de façon universelle. La notion d'art n'existe même pas dans certaine culture, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'œuvre, il faut juste trouver un autre mot pour définir l'art. [...]
[...] Il n'y a pas de partie sans tout. Un objet aux contours extrêmement variables qui est l'élément d'un dispositif plus complexe : - un masque ne signifie rien - élément d'un système paradigmatique - élément d'un syntagme : - processus (fabrication, exhibition, fin, ) -phases du rituel. Le rituel : Pour comprendre un dispositif d'un masque, il faut comprendre le rituel. Ensemble de relation entre humain non inhumain, matériel et non matériel. II] le dispositif rituel : Le masque et le rituel le rituel comme art total II] les autres attributs. [...]
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