Etude des textes de Weber extraits de L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme et de "Le savant et le politique. Comparaison et mise en opposition des deux extraits pour faire le lien entre le capitalisme et le protestantisme.
[...] la science chez Durkheim n'a pas d'utilité en pratique elle énonce les fait et l'esprit humain jugera si les résultats sont bon ou mauvais, s'il faut ou non tendre vers eux : comme nous l'explique son exemple sur la maladie : la science défini les états de santés différents et l'homme juge que la santé est l'état vers lequel il vaut mieux aller, qu'il est mieux cependant il remarque également que ces jugements sont bons dans un contexte précis, à une époque précise, pour des individus précis et qu'en fonction de ces variables le jugement émis change alors que la science garde toujours la même réponse. La science est donc capable de nous éclairer mais l'esprit humain biaise les réponses en fonction de lui même. La science n'est ni bonne ni mauvaise elle ne fait que décrire les faits. Dans cette seconde partie nous allons étudier comment Max Weber relié les trois thèmes expliqués plus haut par différents auteurs en un seul raisonnement. [...]
[...] La sphère économique concerne des luttes d'intérêts qui se déroulent sur un marché, ce qui suppose des règles de fonctionnement impersonnelles dont l'argent est le médiateur. Or, la sphère religieuse refuse la possession de biens. Par conséquent, elle rejette l'argent et donc la poursuite du profit qui est l'une des base du capitalisme. L'auteur, à travers son ouvrage le savant et le politique, explique que la science est à la base du développement du capitalisme à l'aide du progrès technique, de l'intellectualisation et de la rationalisation. Ces éléments ont engendré le recul de la croyance religieuse. [...]
[...] L'auteur nous explique que la science explique comment tout fonctionne mais ne donne aucuns sens à cette existence, c'est une autre facette du désenchantement du monde. A partir de la ligne 31 il nous parle de la notion de progrès. le progrès comme tel a-t-il un sens discernable dépassant la technique, de telle sorte que se mettre à son service constituerait une vocation ayant un sens ? lignes 31 32. le progrès doit-il est vu comme une vocation ? mérite-il que les individus lui consacrent leur vie ? [...]
[...] Nous le voyons d'ailleurs aux lignes 59-60 : Mais il est vrai que le capitalisme est identique à la recherche du profit, d'un profit toujours renouvelé, dans une entreprise continue, rationnelle et capitaliste [ ] ».Contrairement au catholicisme qui représente le conservatisme du travail traditionnel, la routine, les rapports amicaux avec ses fournisseurs et ses clients ou encore un travail modéré. Nous pouvons donc dire que la différence entre le protestantisme et le catholicisme selon Weber est que, l'un représente la rationalisation de l'autre. [...]
[...] la science avait comme vocation de se rapprocher d'un être suprême, mais le progrès tend a prouver que cet être n'existe pas. Alors pourquoi continuer ? vers quoi la science et le progrès nous emmènent- ils ? a quoi servent-ils en vérité ? Ils ne nous donnent aucunes réponses. La science sans présuppositions ligne 41 n'est ni bonne ni mauvaise, nous explique l'auteur, prenons l'exemple de la médecine lignes 56 à 60 le devoir du médecin consiste dans l'obligation de conserver la vie purement et simplement et de diminuer autant que possible la souffrance. Mais tout cela est problématique. [...]
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